I walk Alone I walk Alone ( 8 ) [ E m i l y ]

Dylan c'était levé tard ce jour là. Pour cause : Il n'avait pas cour. Il c'était brossé les cheveux vite fait, avait avaler un café et s'était habillé. Il avait enfilé une chemise blanche dont il avait ouvert les premiers boutons, laissant entrevoir le haut de son torse, un Jean dit "Cigarette" bleu et des chaussures Converses hautes en Cuir Noir. Sur ses épaules, il avait posé un polo très classe "Ralph Lauren". Avec ses Ray-Bans qui cachaient ses beaux yeux gris clairs, il était partit en direction du London Private Collège, à pied. Le vent frais soufflait plutôt fort et le ciel était remplis de gros nuages gris foncés. Tout présageait donc qu'il allait bientôt pleuvoir.
Dylan accéléra la cadence, pour arriver au moins avant qu'il n'ait eu le temps de se mettre à pleuvoir. Il aurait eu l'air intelligent dans une chemise blanche, tellement mouillée qu'elle en serait devenue toute transparante... Il jeta un coup d'oeil à sa montre : il allait être bientôt onze heures et demi. Il serait au collège dans environ deux minutes et arriverait donc tout juste pour la pause du midi.Là, il devait voir le Président du club D'hôtes, Adam James Hunter, pour une raison tout à fait futile.
Il arriva juste à temps : quelques gouttes commençaient déjà à tomber sur la grande et belle Ville de Londres. Il mit sa malette de cuir sur sa tête et courru presque pour arriver à la petite tour. Là, il était bien abrité. A première vue, pas mal d'étudiants eurent la même idée que lui car en quelques minutes, la petite tour se retrouva remplie de jeunes personnes, tenant ensembles des discutions à première vue très animées.
Le jeune homme trouva un banc vide un peu à l'écart de l'agitation et s'y asseya. Il mit son iPod dans ses oreilles et se fut la chanson "U-turn ( Lili )" du groupe AaRON qui passa. Il chantait silencieusement la chanson qui passait, en regardant les gens autour de lui. Il avait rendez-vous vers midi et demi avec Adam James et il devait trouver à s'occuper, parceque là, sur son banc, il allait finir par mourrir d'ennui.