Amy Carter Classe 2-A
Nombre de messages : 33 Age : 31 Date d'inscription : 10/08/2008
&& IT'S ALL ABOUT YOU && RELATIONSHIP: && POPULARITY: (0/0)
| Sujet: amy carter. Dim 10 Aoû - 23:43 | |
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I- WHAT IS YOUR NAME?
Nom: Carter. Prénom(s): Amy, Masha. Date de Naissance ( & Age ) : 13 mars 1992. 16 ans. Lieu de Naissance: Los Angeles. Lieu de Résidence: Londres. Clan: Lobelia Club.
II- HOW ARE YOU? AND WHAT IS YOUR STORY?
Description Physique: De loin, vous verrez une silhouette fine, grâcieuse, de taille moyenne mais d’élégance indubitable. C’est inné chez elle, ce qui a grandement facilité son « poste » de fondatrice du Lobelia Club. De dos, vous verrez de longs cheveux bruns, des hanches un peu plus protubérantes qu’on aurait pu le croire, des jambes un peu plus longues que ce qu’on avait d’abord cru. De face, vous ne verrez plus rien d’autre que ses yeux, qui hypnotisent et fascinent d’une part par leur couleur - d’un bleu si intense que c’est comme si un ange avait volé deux parcelles du ciel matinal avant de les coller sur le visage de la demoiselle – et d’autre part par leur intensité. En effet, contrairement à ce que beaucoup croient (ah, les jolis préjugés), Amy n’est pas seulement une fille populaire intéressée par la mode. Et un seul regard longuement partagé suffira à ancrer cette certitude en vous pour l’éternité. Promis.
Caractère: Amy aurait pu être une adolescente capricieuse et franchement insupportable, peste à souhaits et futile non-stop. Mais si c’est cela que vous cherchez, vous êtes mal tombé, car en réalité, c’est une demoiselle particulièrement romantique et sentimentale, pour qui les livres et les films ont de tout temps bercé sa passion pour l’amour. Elle n’a pas été élevée par ses parents, puisque ceux-ci étaient sans cesse au travail, ou en voyage, ou occupés (je ne sais pas si vous avez remarqué, mais ce mot est employé si souvent qu’il en perd tout son sens ; occupés, occupés, occupés, occupés). Son éducation, donc, en tout cas à la maison, a été faite par les nourrices successives, souvent d’Amérique Latine, ce qui lui permit, en plus des valeurs et des principes innombrables qu’elles lui inculquèrent, d’assimiler un vocabulaire considérable en espagnol. Mais pour qu’elle vous avoue cela, il va drôlement falloir la creuser, car ses parents lui ont fait promettre qu’elle devrait garder cette vérité pour elle ; pas parce qu’ils avaient honte, mais parce qu’ils s’inquiétaient, même s’ils étaient désormais à la retraite, de l’impact qu’une telle révélation ferait sur leur image, eux qui avaient si longtemps semblé être de bons parents. Ils sont en tout cas ravis du résultat de tant d’années d’absence : une fille intelligente, sociable, bien élevée, et avec en plus des principes, un goût pour la littérature et une culture en général plus que plaisants. Bravo, monsieur et madame Carter. Ah, mais j’oubliais : rien de tout cela ne vient de vous, n’est-ce pas ?
Histoire: Contrairement à ce que beaucoup de magazines à la langue de vipère se sont amusés à répandre, Amy n’était absolument pas un accident. Au contraire, elle était la fille que Bethany et James avaient toujours voulu. Bien entendu, pour eux, il s’agissait peut-être d’un caprice comblé en plus, mais cela importait peu, car quand ils étaient à la maison, ils arrivaient à compnser leur absence par leur générosité et leur affection. Sa mère l’emmenait au cinéma, à des dîners, aux cafés, dans des hôtels, et toutes sortes d’aventures du genre. Son père la choyait également et notamment dans les voyages d’une semaine qu’ils faisaient, seuls, l’un avec l’autre, une fois par an. Sept jours de pur bonheur. Mais reprenons depuis le début. Amy naît donc un 13 mars plutôt venteux, d’un accouchement normal, docile, à temps. Elle grandit à Los Angeles, fréquente une école privée, se fait des amis qu’elle retrouve chez elle ou chez elles. Au choix. De toute façon, c’est souvent le même programme et les pyjamas partys du style Gossip Girl se suivent presque sans arrêt. Quand elle rentre chez elle, cependant, c’est pour dîner avec Carlotta, la nourrice qui a passé près de sept ans avec elle (entre ses trois et ses dix ans). Vous imaginez bien le déchirement lorsque celle-ci, enceinte, part se marier et annonce qu’elle ne pourra plus venir. Amy aura du mal à s’attacher à la nourrice suivante. Il faut bien tourner la page mais comprenez que pour un enfant qui se sent abandonnée par tous, c’est un peu plus dur que pour le reste. Ainsi passe la vie, sans embûches, car celles-ci sont enlevées par des majordomes attentifs et par des professeurs intéressés. Jusqu’à ce que, pour l’anniversaire de ses quinze ans, ses parents apparaissent à l’endroit de rendez-vous avec trois billets d’avion : ils partaient pour Londres. Pour Amy, cela voulait dire renoncer à tout, à ses amis, à sa vie, à sa routine, à son école. Elle aurait pu se rebeller. Elle aurait pu taper du pied et crier dans tout l’aéroport qu’elle ne voulait pas partir. Mais elle ne fit qu’acquiescer de la tête, s’efforcer de sourire et monter dans l’avion à la suite de ses parents. Adieu, LA. Hello, London. Au départ, bien entendu, ce ne fut pas simple de débarquer dans ce lycée, mais très vite, vous vous en doutez bien, elle s’y habitua. Elle s’intégra facilement grâce à son physique mais également grâce à sa généreuse spontanéité, à ses sourires pleins de sincérité, à sa personnalité hétéroclite, charmante, et puis à son inscription au club de théâtre dès son arrivée. Peut-être aussi grâce à ses parents, son appartement, son argent, et tous les privilèges qu’apportait une amitié avec elle. Mais elle préférait ne pas se dire cela. Elle préférait se bercer d’illusions. C’est ce qu’elle fit, d’ailleurs, quand elle commença à sortir avec Ethan. Elle avait commencé par ne pas lui faire confiance, méfiante, distante, et puis au bout du troisième ou du quatrième mois, s’était soudain surprise à penser que leur relation allait durer pour toujours. Quelques semaines plus tard, il cassait. Et pour quoi ? Pour le club des hôtes. Vous comprenez maintenant pourquoi elle est une des fondatrices du Lobelia Club. Elle se vengera. Quoique. On sait tous la limite si fine qu’il y a entre l’amour et la haine : parviendra-t-elle donc à se défaire de tous les sentiments qu’elle a encore, malgré tout ce qu’elle dit, pour lui, ou cédera-t-elle à ses émotions en une pitoyable déclaration d’amour ? Qui vivra verra ; la suite au prochain épisode.
III- OTHERS
Relationship: Ethan est son ex. Judy est une de ses bonnes amies. Ebony est sa meilleure amie. Deborah, bien sûr, complète les fondatrices du club, donc le quatuor. Test RP: - Spoiler:
Junkie’s Lounge. Le nom du bar, en soi, était déjà extrêmement provocateur, mais il suffisait d’entrer pour voir qu’il n’y avait pas que cette appellation qui défie les autorités. A l’intérieur, ce qui frappait d’abord, c’était l’obscurité : alors que la plupart des cafés explosaient de lumière une fois la nuit tombée, ce lieu n’était que ténèbres, dissimulant les vices dans un brouillard de fumée. Ensuite, c’était l’odeur : le parfum rance de la sueur se mêlait aux bouffées de cigarettes et d’alcools forts. Enfin, le bruit. Des chuchotements, des rires étouffés, certains gémissements, peu de silences et une ambiance étrangement familière. J ne s’étonnait de rien : la clope qu’il avait à la main était sa douzième, et le verre de scotch qu’il avait dans l’autre était au moins son huitième. Soirée habituelle, en somme. Entouré de deux femmes sensuelles, il sentait pourtant d’autres besoins monter : aucune d’elles ne l’intéressait. Il voulait voir MJ, mais elle avait sa soirée occupée. Heureusement, elle lui avait promis que le lendemain les réunirait. Non. C’était autre chose qui l’obsédait : la drogue qu’il gardait précieusement dans sa poche. Inspirer, expirer. Et puis, il fit un geste violent de la main qui étonna les deux femmes et les fit se taire. Sans un mot, il se leva et se dirigea vers les toilettes. Avant de sentir un homme le retenir par l’épaule. Le manager.
M - Jake. Non. J - Quoi ? Je n’ai même plus le droit d’aller aux toilettes ? Allez, arrête. M - Je sais très bien ce que tu vas y faire, et c’est hors de question.
J haussa un sourcil, sentant la tension et l’angoisse croître dans son esprit. Son sourire crispé fut remarqué par le manager, qui lui aussi commença à s’inquiéter. Ce n'était pas un homme ni méchant ni strict en général, mais il connaissait J depuis un certain nombre d'années et l'indulgence qu'il avait eu au début - du fait de son histoire, qu'il avait appris au fil de ses ivresses - s'estompait peu à peu. Cependant, il était toujours doux, et s'occupait régulièrement de lui quand il faisait des crises et que le bar n'était pas trop bondé. Malheureusement, ce soir-là, chaque table était occupée, il lui serait impossible de veiller sur lui. Les yeux du quarantenaire se baissèrent lentement vers la braguette que J commençait à ouvrir. Il lui restait peu de temps. Il pensa qu'il pourrait toujours appeler A et se fit à l'idée que J voulait peut-être tout simplement aller aux toilettes. Trois, deux, un.
M - Très bien. Vas-y. Et montre-moi un peu que tu es capable d’aller aux toilettes sans laisser des pourritures dans ton sang.
Le jeune homme ne prit même pas la peine de répondre, mais sentait un incroyable soulagement qui apparut sur son visage. Ses pas rapides le menèrent aux toilettes, dans laquelle l’odeur rance s’intensifiait. Il plissa le nez, entra dans une cabine, et referma la braguette qu’il avait laissée à demi-ouverte. Puis, il passa, comme il le disait avec MJ, aux choses sérieuses. Brûler, couler, infiltrer. J ferma les yeux sous l’effet bienfaisant de la drogue. Avant de sentir les premiers effets secondaires. Merde. Il avait trop forcé la dose. Ses mains tremblèrent de nouveau, mais plus sous l’effet du besoin, il commença à voir trouble – quoique cela datait de plusieurs heures maintenant – mais surtout un fort sentiment de nausée lui emplit le corps. Son souffle s’accélérant, il comprit que ça n’allait pas tarder à dégénérer, et alors qu’il sortait désespérément son portable, quelqu’un frappa fortement des coups à la porte.
M - Tu l’as encore fait ! Sors de là. Tu es vraiment irresponsable, Jake. Allez, ouvre la porte. Il faut que tu t’en ailles.
Sous l’effet de l’angoisse, J faillit laisser tomber son portable. Il poussa une série de jurons, tous pires les uns que les autres, avant d’ouvrir la porte. Son visage pâle, en sueur, fit hausser un sourcil au manager qui comprit qu’il allait réellement mal. Comme de coutume, il prit le téléphone et composa le numéro d’A, qu’il connaissait maintenant par cœur.
M - Aaron ? – Jake fait de nouveau une crise – non je ne peux pas m’occuper de lui, j’ai beaucoup de clients ce soir – non, c’est hors de question – bon, écoute, je le mets à la rue, et si tu veux venir le chercher, tu le trouveras devant le café – d’accord, je veillerai sur lui jusqu’à ton arrivée – d’accord, j’ai dit, mais fais vite.
Le manager raccrocha, remit le portable dans la poche droite de J, puis la soutint jusqu’au comptoir : pas à pas, ils se déplacèrent, sous le regard vide des autres clients. J s’appuya sur le comptoir, la tête entre les bras, attendant la salvation qui viendrait, une fois de plus, de son meilleur ami. Un meilleur ami d’ailleurs bien particulier : celui qui venait toujours le secourir, le supporter, lui sourire, alors qu’il n’avait rien en retour. Un ange ? C’est ce que J aimait se dit. C’était son ange gardien. Une chanson s'éleva. Angie, des Rolling Stones. Et puis, un vent frais fila sur la nuque du jeune homme qui releva brusquement la tête : la porte venait de s’ouvrir sur A. J s’approcha, trébuchant presque à chaque pas, avant de se tenir sur son ami, les deux bras autour de son cou. Un murmure et un sourire.
J - Mon ange, tu es encore venu. Code: CODE BON/ CHARLIZE Avatar: Alexis Bledel.
IV- YOU
Prénom Ou Pseudo: Anna. Age: 15 ans. Ou avez-vous connus le forum? Felix Felicis. Qu'en pensez vous? Original. Actif. Quelque chose à dire? Hm. Bonsoir. =) Présence /7: 7/7.
Dernière édition par Amy Carter le Lun 11 Aoû - 0:08, édité 1 fois | |
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