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 du shakespeare modernisé {pv}

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Amy Carter
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Amy Carter


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MessageSujet: du shakespeare modernisé {pv}   du shakespeare modernisé   {pv} Icon_minitimeLun 11 Aoû - 22:23

    Elle aurait dû s’en douter. Dans le couloir, des bruits de pas se faisaient entendre. Une grimace se dessina sur le beau visage d’Amy, qui se plaqua silencieusement contre le mur en attendant que la personne disparaisse. Après que le silence se soit instauré, elle attendit encore quelques minutes et, enfin, se décida à avancer. Il ne manquait plus que deux couloirs pour arriver à destination ; vous imaginez bien son soulagement quand elle franchit le seuil de la salle tant espérée. C’était une pièce quasiment vide, avec seulement une table précédée d’une chaise et une armoire fermée à clé. Son avantage, néanmoins, était qu’elle donnait sur un balcon, lui-même ayant une jolie vue sur Londres. Et Amy était tout à fait le genre de personnes attachant de l’importance à ces détails. Etant donné qu’il était dans les alentours de midi, tous les lycéens sortaient déjeuner. Elle, au contraire, avait donné rendez-vous à Andrew, son nouveau petit ami, dans cette même pièce, qu’il retrouverait certainement sans trop de difficultés. Elle était arrivée avec une dizaine de minutes d’avance, ouvrant la fenêtre pour rafraîchir le lieu et s’appuyant ensuite sur la balustrade du balcon.

    Ses yeux d’un bleu intense se posèrent alors sur les rues et avenues visibles depuis cet exact endroit. Elle repéra ainsi la sandwicherie où ne tarderait pas à se presser l’ensemble de sa classe, ainsi que le restaurant chinois très apprécié par certains et enfin la pizzeria toujours aussi fréquentée. Tous avaient des décorations adaptées aux goûts des lycéens, autrement dit offrant un certain luxe et un confort indubitable à ces jeunes princes londoniens. Un sourire apparut sur les lèvres de la brunette, en découvrant, d’ici, les autres membres du Lobelia Club se déplacer, ensemble, vers le restaurant asiatique. Bien qu’elles ne veuillent pas se l’avouer, elles allaient certainement là parce que c’était la nourriture présentant, entre les trois, le moins de calories. Mais après tout, Amy n’y allait-elle pas aussi, en temps normal ? Lucidité dans la critique, il fallait être raisonnable.

    Le bruit de la porte, à sept ou huit mètres derrière elle, la fit sortir de ses pensées ; elle l’entendit s’ouvrir et se fermer et pria pour que les pas qu’elle entendit ensuite soient bien ceux d’Andrew, et non pas ceux d’un professeur ou d’un conseiller d’orientation quelconque. Certes, partout ailleurs, sa présence dans des lieux interdits aurait été excusée par son nom, mais le personnel de ce lycée était plus qu’habitué aux noms prestigieux et détestaient ceux qui en abusaient. Aussi croisa-t-elle fortement les doigts avant de se retourner.

    Amy – Andrew ! Tu m’as fait peur.

    Elle perçut une certaine grimace sur le visage de son copain, et se douta qu’il s’agissait de l’appellation « andrew ». Elle était en effet une des seules à ne pas vouloir l’appeler « ace », peut-être parce qu’elle cherchait justement (en vain, précisons-le) à se distinguer de la foule des autres filles aux yeux d’Andrew. Mais celui-ci n’était qu’un coureur de jupons : elle l’avait compris en se promenant avec lui, la veille, et après avoir surpris ses regards intéressés vers toutes les demoiselles un peu plus que tolérables. A ce souvenir, elle leva au ciel, mais, l’excusant de par sa propre part du marché, elle s’avança avec un petit sourire.

    Amy – J’espère que tu n’as pas trop faim ; j’ai complètement oublié de préparer quelque chose pour le déjeuner.

    Elle était étourdie mais pas à ce point là, et Andrew le comprendrait très vite. La vérité était qu’elle n’avait pas faim, du moins rarement, au déjeuner, ce qui l’amenait à espérer qu’il en était de même pour le jeune homme. Au pire, ils pourraient aller à la sandwicherie, au restaurant asiatique, ou à la pizzeria, mais elle lui avait promis de ne pas trop chercher, systématiquement, à le montrer aux yeux du monde, et ainsi à le faire passer pour un imbécile. Il lui fallait bien respecter sa promesse, non ? Mais si, vous dis-je, Amy, bien que de plus en plus manipulatrice, n’en restait pas moins quelqu’un de bonne foi. C’est pour cette même raison que vous pouvez croire en la sincérité de son sourire et surtout en l’authenticité du baiser dont elle gratifia peu après le nouveau venu.

    Amy – Hm. Je t’ai déjà dit que tu embrassais terriblement bien ?

    Et d’apposer à nouveau ses lèvres sur les siennes.
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Andrew C. Enthon
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Andrew C. Enthon


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MessageSujet: Re: du shakespeare modernisé {pv}   du shakespeare modernisé   {pv} Icon_minitimeMar 12 Aoû - 1:47

Ce matin même en se levant, le beau blond qu'était Andrew se demanda encore dans quoi il s'était fourré en acceptant une relation pareille. Oh non, n'allez pas croire qu'il se plaignait, bien au contraire, mais c'était quand même assez tordue. Alors qu'ils s'étaient rencontrés pendant les vacances, le jeune homme avait vite réalisé que s'ils avaient commencé une relation que la jeune femme avait la tête ailleurs, et cela c'était avéré quand elle avait prononcé le nom d'un autre. Ace, mal réagir ? Non ! Il s'en fichait. Pour lui, c'était une fille comme les autres, mignonne qui plus est avec de l'influence sur le lycée. Alors oui, il était rentré dans son jeu, et la rentrée, il continuait de sortir avec elle. Le travail n'était pas bien compliqué après tout. Embrasser une jolie fille, la prendre dans ses bras dans les moments où ils étaient le plus regardé, c'était même agréable. L'inconvénient ? Se retenir de regarder ailleurs, et si ce n'était que regarder... Un marché était un marché. Tout ce petit manège allait durer une semaine voir deux. Juste assez pour qu'on remarque la jeune femme dans les bras d'un autre. Dans peu de temps, il finirait par se lasser, et la jeune femme sûrement aussi, car dans le fond, il n'était pas du tout fait pour elle.

Ce matin, il avait reçu un message de la jolie brune. Elle lui donnait rendez dans un endroit assez isolé du parc. Ce qui changeait radicalement de leurs habitudes. Mais pourquoi pas après tout. Pour une fois, les regards curieux des autres élèves, celui des journalistes, d'Ethan si ça l'intéressait vraiment, ne seraient pas fixés sur eux. Depuis qu'Ace était arrivé, personne ne l'avait vu dans une relation posée. Remarquez que je ne dis pas sérieuse, mais posée. Andrew, aimait avoir des flirts avec les jeunes filles. Mais il était vrai qu'allez savoir pour quelle raison, il ne voulait jamais sortir avec plusieurs filles en même temps. Quand il était engagé, et bien il l'était. Même si ce n'était pas long, voir extrêmement court. Son excuse ? Il était jeune ! Il avait bien le temps de se trouver la femme de sa vie et de s'enfermer dans une relation sérieuse. Il s'était toujours que lorsqu'il verrait la fille qui le ferait rêver jusqu'a la fin de sa vie, il le saurait. Comment ? Il n'en savait rien, mais il était certain qu'il la reconnaîtrait.

Après les cours de la matinée, qui étaient plus barbants les un que les autres, il s'était dirigé vers la salle où il devait retrouver Amy. Il avait mit un peu de temps car il ne venait pas souvent par là, et il avait un peu tourné en rond. Puis finalement il avait trouvé. Quand il était rentré dans la pièce, il l'avait vu se tourner vers là porte en un sursaut, ce qui l'amusa, surtout lorsqu'elle lui avoua qu'elle avait eu peur. Son sourire laissa place à une légère grimace. Qu'on l'appelle Andrew une fois de temps en temps, cela passait, mais elle, Amy, avait décidé de jamais l'appeler Ace. Cela lui rapelait bizarrement sa mère, sensation étrange tout de même, il fallait le reconnaitre. Et puis, Ace, ce surnom quelque peu vantard, qu'il aimait tant... Surnom qui lui restait de Boston, ville qui était loin derrière lui. Ces souvenirs ? Ce surnom, et les tatouages qu'il avait. Mais ceci est une autre histoire.

Il n'avait pas répondu quand elle lui avait dit qu'il lui avait fait peur. Il s'était contenté de sourire amusé. Elle lui dit alors qu'elle espérait qu'il n'avait pas faim car elle n'avait pas prévu à manger. Dommage, il aurait bien manger un petit bout quand même. Ils avaient le temps me direz vous. Bizarrement avant qu'il ne réponde, elle l'embrassa. Baiser qui le surprit puisqu'il n'était que tous les deux, à moins que des gens ne soit cachés dans ce placard. Il y répondit avec plaisir. A la fin de celui-ci, elle lui dit qu'il embrassait terriblement bien, ce qui le fit rire. Il la prit par la taille et lui répondit :


- Tu te débrouilles pas mal non plus, miss.

Il la tenait dans ses bras, et la fit reculer doucement, mais tranquillement contre le mur. Elle retrouvait donc coincé entre celui-ci et Ace. Il prit une mèche de cheveux de la jeune fille entre ses doigts et glissa le long de celle-ci. Ses doigts frôlèrent le cou de la belle brune, pour finir à la naissance des premiers boutons ouverts de la chemise de l'uniforme de la jeune femme. Ses doigts fins lissèrent la cravate, frôlant évidement les atouts féminins d'Amy. Il tenait le bout de la cravate entre ses doigts. Ace avait un sourire malin. Alors il reprit la question d'Amy avant qu'elle ne l'embrassa.

- Si j'ai faim... Mais je crois que je me suis trouvé un petit encas pour patienter

Il tira légèrement sur la cravate, l'approchant de lui, et l'embrassa une nouvelle fois avec une certaine fougue. Sa langue se mêlant à la sienne, il s'amusait à l'éviter pour ancien mieux la retrouver. Un jeu qui amusait particulièrement le jeune homme.
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Amy Carter
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Amy Carter


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MessageSujet: Re: du shakespeare modernisé {pv}   du shakespeare modernisé   {pv} Icon_minitimeMar 12 Aoû - 14:42

    Andrew avait raison : c’était tout de même une relation bien tordue que les deux adolescents avaient enclenché. Certes, elle était assez courante dans ce lycée londonien où tous manipulaient et jouaient les uns avec les autres, mais d’un autre côté, elle serait particulièrement mal vue par les puristes et les romantiques. Et dois-je vous rappeler qu’Amy était romantique ? A croire qu’Ethan l’avait complètement transformé. Ce salaud allait payer. Et puis, il y avait autre chose, quelque chose que la demoiselle n’irait jamais avouer – à personne – mais il fallait dire qu’Andrew lui plaisait bien et qu’elle était assez contente, pour ne pas employer ce sale mot de satisfaite, de sortir avec lui. Elle aurait pu prendre n’importe quel autre garçon mais lui, en plus d’avoir de l’allure et de la classe avait le sens de la répartie et un certain don, dirons-nous, charnel. Non, détrompez-vous, les deux tourtereaux n’avaient pas encore couché ensemble, mais c’était la première fois qu’Amy se disait que, peut-être, la première fois n’avait pas besoin d’attendre le grand amour. Et pourquoi pensait-elle cela ? Pour se justifier face à sa conscience si jamais l’occasion venait et que tout se produisait.

    Appréciant donc particulièrement les contacts physiques avec Andrew, elle savoura le premier baiser qu’elle lui donna et puis la manière dont il la guida par la suite, l’amenant contre le mur et puis caressant, sans une once d’hésitation, ce que beaucoup de garçons auraient regardé de loin avec des doutes insupportables. Vous ne le savez peut-être pas mais les filles aiment être guidées, c’est une vérité indubitable et largement reconnue. Cela vous explique le sourire de plus en plus sincère de l’adolescente. Elle était contente d’être là – ce qui, rappelons-le, était tout sauf prévu.

    Andrew – Tu te débrouilles pas mal non plus, miss.
    Amy – Pas mal ?

    Elle souriait, franchement amusée, et sentit le baiser suivant devenir encore plus langoureux, comme sous l’effet de la phrase d’Andrew ; ou peut-être était-ce simplement la température ambiante dans la pièce qui augmentait à toute allure. Qui aurait cru qu’Amy, la plus sainte du Lobelia Club, se laissait aller à des baisers interdits dans une salle de l’aile administrative ? Tous ceux qui ne la verraient pas au déjeuner, sans doute.

    Andrew – Si, j’ai faim, mais je crois que je me suis trouvé un petit encas pour patienter.
    Amy – Ah oui ? (Un baiser) Je compte donc plus que ton appétit ? Quelle chance.

    A bien les regarder, vous devinerez aisément qu’ils ne sont pas ce qu’on appelle un couple amoureux. Comment sait-on cela ? Ca se situe d’abord dans le regard : il y a quelque chose qui pétille, quelque chose qui brille. Ici, rien ne brillait ; tout, au contraire, brûlait. C’était plutôt le feu que l’air ou l’eau, plutôt le plaisir que la douceur. Ca aurait dû déranger Amy. Ca aurait dû. En fait, ses pensées étaient complètement accaparées par le baiser : il lui donnait sa langue, l’enlevait, et ne la lui redonnait que comme une sorte de faveur. Il jouait. Alors elle se décida à jouer, elle aussi. Elle détourna légèrement son visage, embrassa la commissure des lèvres d’Andrew, puis, tout en suivant la courbure du menton, arriva au creux de l’oreille.

    Amy – Serais-tu en train de jouer avec le feu ? Tu sais très bien que tu ne pourras pas obtenir ce que tu désires.

    Cherchait-elle à le refroidir ? Au contraire, cela ne lui avait même pas traversé l’esprit. Non, elle s’amusait à lui parler de l’acte en lui-même, qu’il ne tarderait pas à vouloir plus que tout autre chose au monde (ah, les hommes). Elle lui montrait bien qu’elle se refuserait à lui et y’avait-il plus enrageant que cela ? Etait-ce un jeu ou cherchait-elle réellement à se distinguer des autres filles à ses yeux ? Allez savoir.
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Andrew C. Enthon
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MessageSujet: Re: du shakespeare modernisé {pv}   du shakespeare modernisé   {pv} Icon_minitimeMar 12 Aoû - 19:50

Amy était une romantique, cela résumait parfaitement la situation. Ace lui, ne l'était pas du tout. Je n'ai pas besoin de faire une nouvelle description du comportement du jeune homme. Il aimait sa liberté, et celle qui lui prendrait n'était pas encore arrivée. Beaucoup espéraient qu'il change, peut-être en compagnie de l'une d'elles. Seulement elles s'y étaient souvent cassées les dents. Vous voulez savoir quelle fut le temps de sa relation la plus longue ? Deux mois et demi ! Et oui ! C'est court pour certains d'entre nous, mais pour lui, c'était un record. Ces deux mois avaient été parfait, sinon il aurait mis un terme à la relation le plus rapidement possible. Mais non, jusqu'à la fin, cela allait très bien. Jusqu'à la fin. Le jeune homme se lasse rapidement. Pour entretenir une relation avec lui, il faut savoir l'amuser, l'étonner, bref il faut pas lui laisser le temps d'avoir l'impression de s'ennuyer, sinon, c'était finit. Un mode d'emplois avec le jeune homme ? Et non, désolé, ce n'était pas fourni avec lui. Il fallait du temps pour le comprendre, et une fois qu'on le comprenait il était trop tard. A moins qu'on ne devienne son amie... Car oui, Andrew n'était pas du genre à manger deux fois dans le même plat, si vous comprenez ce que je veux dire. Une seconde chance ? Très peu pour lui. Enfin, si l'envie de s'amuser lui prenait pourquoi pas, mais aucune chance pour que cela redevienne une relation posée...

Appuyée contre le mur, il regarda la jeune femme qu'il avait entre ses bras. Il n'avait pas encore couché avec elle. C'était assez frustrant d'avoir accepté ce marché, car il n'en restait pas moins un mec qui avait quand même des envies... De toute façon, cela faisait bientôt une semaine qu'ils étaient ensemble aux yeux de tous, alors si la belle ne se décidait, chose que comprenait quand même le jeune homme, il mettrait bientôt fin à leur relation. Après tout, il fallait le comprendre le pauvre petit, c'était normal qu'il en demande un peu plus... Et puis, elle était désirable la petite Amy.


- Ouais... Pas mal.

Lui avait-il répondu volontairement pour toucher un peu sa fierté. Histoire de la provoquer un peu. Il la regardait toujours amusé, un sourire en coin étirant ses lèvres. Elle lui demanda alors si son appétit comptait moins qu'elle, alors il lui répondit :

- Ca dépends ce que tu me proposes à manger en échange ?

Alors qu'il l'avait embrassé, elle avait volontairement détourné la tête, pour l'embrasser au coin de ses lèvres. Elle lui avait ensuite murmuré à l'oreille quelques mots qui le firent rire légèrement. Une de ses mains se posa sur la taille de la jeune fille glissant doucement le long de sa cuisse. Il lui déposa un léger baiser au creux du cou, son souffle frolant celui-ci, il murmura à son tour :

- Je dirais que c'est toi qui joue avec le feu... Ce n'est pas moi qui nous ait attiré dans un lieu isolé...

Il avait un sourire malicieux, tandis que son autre main se posa sur la hanche de Amy, il tirait adroitement sur la chemise pour la dégager doucement de la jupe.
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Amy Carter
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MessageSujet: Re: du shakespeare modernisé {pv}   du shakespeare modernisé   {pv} Icon_minitimeMar 12 Aoû - 20:20

    Amy avait délibérément ignoré la question d’Andrew quand celui-ci lui avait demandé ce qu’elle était prête à lui offrir à manger en retour. Bien entendu, et surtout venant de lui, il n’y avait pas d’équivoque à cette question, mais ce qui était amusant, au fond, c’était cette entente qui aurait été idyllique s’ils n’avaient été que meilleurs amis. Sortir ensemble posait d’autres problèmes : Amy, d’un côté, gardait une pointe de romantisme en elle ; Andrew, au contraire, avait tendance à penser un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, au sexe. Alors, bien sûr, ça n’aidait pas. Mais l’un comme l’autre savaient que leur relation n’allait pas durer pour l’éternité. C’était d’ailleurs cela qui les poussait à profiter le plus possible de l’autre pendant qu’il en était encore temps. Logique, non ? Plus on est conscient de l’échéance de quelque chose, plus on cherche à en tirer du plaisir. Un exemple concret : vous êtes enfant, en vacances, et vous vous levez tous les jours à sept heures ? Pourquoi ? Parce que vous voulez profiter de chaque seconde, n’en perdre aucune, et que le sommeil vous paraît tout simplement une perte de temps. Logique, j’vous dis. Voilà donc ce que faisaient Andrew et Amy. Métaphoriquement parlant.

    Andrew – Je dirais que c’est toi qui joue avec le feu. Ce n’est pas moi qui nous ai attiré dans un lieu isolé.

    Et merde. Elle sentit parfaitement qu’elle s’était faite coincée. En un certain sens, elle qui s’obligeait à penser que la première fois devait venir avec l’amour et qu’elle ne pouvait certainement pas faire la sienne avec ce garçon, avait révélé inconsciemment ses désirs en les emmenant là. Toute la thèse de Freud lui revint en mémoire en un flash d’une demi-seconde, thèse qu’elle dut abandonner pour répliquer et pour achever le carnage qui se déroulait au niveau de sa hanche. Son souffle, quoiqu’elle en dise, était légèrement court, et Andrew serait certainement sensible à cela, comprenant que toute résistance ne pourrait pas être éternelle.

    Tandis qu’elle sentait les mains d’Andrew se déplacer savamment sur son corps – ce type avait-il un don ou avait-il simplement développé cette faculté de faire monter le plaisir chez ses victimes pour mieux se faire désirer par la suite ? Sa propre main, sans qu’elle s’en rende spécialement compte, alla de la joue d’Andrew à sa nuque puis descendit le long de son dos pour l’attirer contre elle. La vérité était qu’une fois lancés sur un tel chemin, les êtres humains perdent peu à peu le contrôle d’eux-même, les réflexes sexuels tenant plus des animaux que de l’humain lui-même. Mais des flashs venaient interrompre le bon déroulement de la chose dans la tête d’Amy. Tu ne l’aimes pas. Il ne t’aime pas. Il cassera juste après. Le journal diffusera la nouvelle. Ta réputation sera entâchée. Pas avec lui, Amy. Avec quelqu’un que tu aimes. Et elle parvint à se dérober, le laissant tout à son dépit, désormais seul contre le mur. Elle sortit sur le balcon et regarda en dessous, sentant les battements de son cœur toujours aussi rapides. Foutus battements.

    Amy – Il y a une vue sympathique de ce balcon, tu devrais venir voir.

    Elle savait qu’en venant, il serait obligé de l’enlacer – par derrière, vous voyez bien l’image, la fille contre la balustrade, et la tête du garçon quasiment sur son épaule ? Bon, alors vous pouvez visualiser la chose. D’un côté, elle savait que ça n’en était que plus nocif. D’un autre, elle voulait profiter des derniers jours qu’il lui restait avec Andrew (oui, parce qu’elle savait que le temps moyen d’une relation avec ce bel apollon était de maximum deux semaines, et ça en faisait déjà une, donc pas d’espoir de repoussement de l’échéance). Aussi accueillit-elle la chaleur du corps de l’adolescent avec un sourire qu’heureusement, de là où elle était, elle pouvait lui dissimuler.

    Amy – Ca donne un peu l’impression que nous sommes un couple royal ou au moins princier. Il y a même des gens qui se tournent vers nous, tu vois ?

    Un lieu isolé, Ace ? Revois ton bouquin de géographie, car il n’y a rien de mieux qu’un balcon pour se faire contempler. Tu voulais jouer ? Je te donne du jeu. Bonne chance.
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Andrew C. Enthon
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Andrew C. Enthon


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MessageSujet: Re: du shakespeare modernisé {pv}   du shakespeare modernisé   {pv} Icon_minitimeMer 13 Aoû - 1:57

Dire que Andrew passait son temps à penser au sexe ? Non, ce n'était pas le connaître. Ace était plutôt du genre à préférer les jeux de séductions, le flirt que l'acte en lui même. Etrange ? Non, par pour lui. Car si la fille passait à l'acte, ca voulait donc dire qu'il n'y aurait ensuite plus rien à découvrir, donc que l'ennui approchait. Oh, bien sûr, il n'était pas contre les coups d'un soir comme on les appelle vulgairement, tant que la jeune femme le voulait de son côté. Toutefois dans une relation, il aimait plus les petits jeux distrayant qui pouvaient s'installer. Séduire et être séduit. Voila ce qui plaisait le plus à ce jeune homme. Mais dans le cas présent, il ne pouvait rien faire... Quelques baisers, des caresses de temps en temps. Il était rare que cela soit aussi poussé que cela ne l'avait été à l'instant présent. Il tentait toujours un peu, mais il n'allait pas non plus la forcer... Le jeune homme était loin d'avoir besoin ça. Les filles venaient à lui alors, pourquoi irait il forcé une d'entre elle ?

Ace sentit que la jeune fille ne restait pas de marbre face à ses caresses. Les joues de la jeune femme avaient rosies, son souffle devenait saccadé. Elle en vint à avoir un élan en le caressant avec l'une de ses mains, geste qui encouragea Andrew. Sa main était remontée lentement le long de la cuisse d'Amy passa doucement sous sa jupe d'uniforme. Dieu qu'il aimait ces uniformes. Dans son ancien lycée, le port d'uniforme n'était pas imposé, et même si des filles s'habillait de façon sexy, toute n'osait pas la jupe. Ici, les filles n'avaient pas le choix. Elles étaient obligée de la porter. De quoi mettre en alerte toute la gente masculine de ce lycée. C'était quand même les soumettre à la tentation l'air de rien !

Mais bien qu'il la sentait faiblir, il voyait bien qu'elle luttait contre son envie. Cela était assez évident même. Une jeune femme aussi romantique que la belle Amy, ne pouvait accepter de faire sa première fois dans une salle vide. Cela semblait logique, même aux yeux de ce genre Andrew. Toutefois, quand elle s'écarta aussi soudainement, le laissant face au mur, Ace ne fut pas des plus charmé... Il comprit assez vite son stratège quand il la vit aller au balcon. Il pesta un instant. Visiblement tout se payait. Mais ce petit étalage au balcon qui semblait fort romantique, le jeune Ace savait comment le tourner à son avantage.

Il se dirigea vers le balcon, et comme s'en doutait la jeune fille il l'a prit dans ses bras pour faire bonne figure devant tout ceux qui pouvaient les voir d'en bas. Et même si les gens restaient discrets, il était certain qu'ils les regardaient du coin de l'oeil. Il était resté un instant ainsi, la tenant dans ses bras. Comme elle le soulignait, cela ressemblait presque à un couple parfait. Comme c'était romantique sur un balcon... Ce que la jeune fille avait oublié, c'est qu'il avait quand même commencé à tirer sur sa chemise, et qu'elle était à moitié sorti. Ce dont allait jouer le jeune homme pour se venger du manège d'Amy.


- Une princesse est un peu plus habillée, non ?

Alors qu'il était toujours dans son dos, sa main se glissa dans l'ouverture de la chemise qu'il avait créé au niveau de sa hanche, sa main rentrant directement en contacte avec la douce peau d'Amy. La main du jeune homme était sûrement un peu froide, car le temps dehors n'était pas au beau fixe. Il déposa un baiser humide dans son cou, tandis que son autre main se posait de nouveau sur sa cuisse. Remontant dangereusement sous sa jupe... Aux yeux de tous. Oh certes, quelques baisers cela passaient, mais un tel étalage, sûrement pas. Il allait sûrement s'attirer les foudres de la jeune femme, mais quand on commençait une partie avec lui, il fallait aller jusqu'au bout ! Il l'avait d'ailleurs appuyé contre la rambarde du balcon. Ace remontait le long du cou de la jeune fille jusqu'à son oreille qu'il mordilla doucement. Il murmura alors :

- Et un prince a de meilleures manières...
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Amy Carter
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MessageSujet: Re: du shakespeare modernisé {pv}   du shakespeare modernisé   {pv} Icon_minitimeMer 13 Aoû - 12:59

    Amy était persuadée d’avoir gagné. Effectivement, les garçons avec qui elle était sortie, pour le moment, avaient tous été soit particulièrement sages, soit dénué de tout sens de la répartie. Les deux catégories l’ennuyaient, et heureusement, Andrew ne faisait partie d’aucune des deux. Elle découvrait pour la première fois ce qu’était le jeu entre un couple pour le moins étrange. La meilleure appellation serait « friends with benefit », puisqu’en effet ils avaient commencé par être amis, là-bas, en vacances, et sortaient ensemble, un pour être vus, deux pour prendre du plaisir. Un sourire se dessina sur les lèvres de la demoiselle tandis qu’elle savourait sa pseudo victoire, comparant son couple à un duo royal, sinon princier. Mais c’est alors qu’eut lieu la terrible contre-attaque d’Andrew.

    Ace – Une princesse est un peu plus habillée, non ?

    Elle sentit aussitôt ses mains se déplacer sur son corps ; elle retint sa respiration, désemparée et en même temps emplie du désir qu’il faisait à chaque fois naître en elle. Elle veilla cependant à ce que rien ne se lût sur son visage. Comment faire, maintenant ? Une main était déjà sous sa chemise et une autre sous sa jupe. Appréciait-elle ces mouvements ? Foncièrement, oui. Mais face à tout le monde, non. Puisque de dos, elle ne pouvait absolument rien faire contre celui qui avait riposté d’une manière à la fois inattendue et irrésistible. La forteresse était prise d’assaut. Son souffle.

    Ace – Et un prince a de meilleurs manières.
    Amy – Je n'ai jamais aimé les principes.

    Elle se retourna, de manière à retrouver la position qu’ils avaient au sein de la pièce, elle contre la balustrade et face à lui. Sa main gauche alla enlacer le compagnon de fortune et sa main droite se posa sur sa joue tandis qu’elle l’embrassait. Qu’était-ce ? Une récompense pour son audace ? Une manière de plus de s’afficher ? L’envie de l’embrasser qui avait été trop forte ? Qui sait ? Amy, quand elle s’éloigna légèrement, était absolument indéchiffrable.

    Amy – J’aurais quand même espéré d’un prince un certain respect pour sa princesse. Mais il faut croire que tu en manques, de respect.

    Tous ses mots avaient été prononcé en un souffle, et d’en bas, il serait étonnant qu’on puisse remarquer la fin du baiser. Quoiqu’il arrive, il recomença, Amy cédant à la fois à son envie de l’autre et à sa certitude d’être vue. Puis elle poussa légèrement Andrew, le ramenant à l’intérieur de la pièce. Insensiblement, ils arrivèrent jusqu’à l’armoire, contre laquelle elle appuya le damoiseau. Retournement de situation. Sa main droite descendit de plus en plus, parvenant jusqu’un peu en dessous du creux des reins. Amy touchait-elle les fesses de son prince ? Tout juste. Elle laissa un sourire flotter sur son visage et ses yeux ne lâchèrent pas ceux de l’autre.

    Amy – La princesse a beau être trop romantique pour se laisser aller avec un prince qui ne l’aime pas, cela ne l’empêche pas de profiter de lui jusqu’au bout, n’est-ce pas ?

    Sa main gauche se promena sur le corps d’Andrew. Qu’était-il, désormais ? Prince ? Cobaye ? Objet de désir ? Qui sait ? Amy, en tout cas, en profitait, déboutonnant la chemise blanche pour apposer un baiser dans le cou d’Andrew. N’avait-elle pas été prude, quelques instants plus tôt ? Oui, mais elle avait compris quelque chose d’essentiel : le jeune homme avait beau être audacieux, provocant, et tout ce qui s’ensuit, il n’était cependant pas quelqu’un de foncièrement méchant. Il ne la violerait pas, par exemple. Alors elle en profiterait jusqu’au bout.

    Amy – Si je comprends bien, ce que je touche là, ce sont tes abdominaux ?

    Un sourire se fit sur le visage de la demoiselle, et puis elle laissa sa main glisser lentement vers le bas, avant de, en semblant se reprendre, lui faire un clin d’œil et se raviser en lui prenant la main.

    Amy – Allez, je t’emmène déjeuner.
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Andrew C. Enthon
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MessageSujet: Re: du shakespeare modernisé {pv}   du shakespeare modernisé   {pv} Icon_minitimeMer 13 Aoû - 18:50

Dommage que ce petit jeu ne se soit pas installé un peu plus tôt dans leur relation. Cela aurait ainsi mis un peu plus de piquant dans leur histoire. Il fallait que c'était assez amusant d'essayer de faire des coups tordus à l'autre. Ce n'était pas bien méchant, juste assez divertissant ! Bref, ils étaient tous les deux sur cette balustrade aux yeux de tous, et Ace savourait sa douce vengeance. Il en profitait dans tous les sens du terme, puisqu'il fallait aussi l'avouer, Amy était loin d'être une jeune fille déplaisante... Il sentit que la surprise de la jeune femme, il l'avait prise par suprise, l'avait attaqué dans le dos si je puis me permettre cette expression.

Comme il l'avait appuyé contre la barrière, la jeune femme était de plus comme prise au piège. Celle-ci sembla toutefois reprendre ses esprits et se tourna de façon à être face à lui mais toujours appuyé a à rambarde. Le jeune homme, l'incita à s'assoeir dessus, et il s'installa entre ses jambes. Il fut amusé par sa réponse, disant qu'elle n'avait pas de principes, ce qui n'était pas tout à fait vrai, car si c'était le cas, cela aurait fait bien longtemps qu'elle aurait cédé à ses avances. Elle l'embrassa alors, chose qui étonna une nouvelle fois Ace, car il s'était plutôt attendu à des réprimandes plutôt qu'à une solicitation. Les gens en bas devaient sûrement regarder la scène avec attention. Surtout lorsque tous les deux ils s'eclipsèrent vers l'intérieur de la salle, ce qui laissait supposer qu'ils allaient se cacher pour faire des choses qui ne devaient pas être vu. Un peu d'intimité tout de même. L'idée que tous ait pû penser cela fit rire Ace.

Rire qui s'arrêta assez soudainement, car il ne s'était pas attendu à se retrouver plaqué contre un placard. Il était rarement plaqué contre un placard en faire. Monsieur était du genre dominant si vous voyez ce que je veux dire, alors cette situation inversé le pertuba, mais son sourire n'avait pas quitté ses lèvres, et il trouva cela assez amusant. Il sentait les mains de sa compagne glisser le long de son dos pour venir toucher son royal postérieur.


- Cela me rappelle étrangement ces contes, où la princesse est obligée de se marrier avec celui qu'elle n'aime pas... Normalement, c'est le prince le profiteur dans ces situations...

Avec un sourire en coin, il laissait Amy s'amuser avec lui. C'était loin d'être désagréable, et il sentait ses mains légères déboutonner sa chemise, et ses lèvres vinrent se poser à la base de son cou. Le changement d'attitude de la jeune fille était radicale, mais il savait, même s'il aurait voulu le contraire, que ça n'irait pas plus loin que cela. En tout cas, il profitait de l'instant, car peu pouvait se vanter s'être fait plaquer contre un mur par une jeune femme comme Amy, membre d'un club féministe... Il se mit à rire une nouvelle fois quand elle lui demanda si c'était ses abdos... Une de ses mains, se glissa dans le cou d'Amy, et ses lèvres se raprochèrent des siennes. Il ne les toucha pas malgré la proximité, et se contenta de glisserses lèvres le long de la joue d'Amy. Arrivé à son oreille, il lui murmura :

- Maintenant, tu sais ce que tu rates...

En même temps, il sentait la main de la jeune femme glisser de plus en plus bas. Il pariait intérieurement qu'elle ne le ferait sûrement pas, et cela ne l'étonna pas plus que cela quand elle s'arrêta, lui prenant la main pour sortir. Mais il ne bougea pas d'un pouce, il tira brusquement par la main qu'elle tenait, pour la plaquer contre lui sans véritable douceur. Sa main la tenait par la taille fermement, si ce n'est un peu plus, et il l'embrassa soudainement. Quand il mit fin au baiser, il lui dit :


- Tu permet, je me rabille ...

Puis ils sortirent tous les deux de la salle vide, lui reboutonant les boutons de sa chemise, ce qui ne passa pas inaperçu aux yeux des gens qui se promenaient dans le couloir.



TERMINE.
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