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 &&. Abigaëlle S. Roumanov *{ U_C

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MessageSujet: &&. Abigaëlle S. Roumanov *{ U_C   &&. Abigaëlle S. Roumanov *{ U_C Icon_minitimeMar 17 Juin - 23:37


Découvrez Cyndi Lauper!

Abigaëlle Satine Roumanov
&&. Abigaëlle S. Roumanov *{ U_C Icon-t10 &&. Abigaëlle S. Roumanov *{ U_C Icon-t11

I- WHAT IS YOUR NAME?


    Nom: ROUMANOV. Nous sommes en 1917. La révolution russe gronde. Le Tsar, Nicolas II Aleksandrovitch, est au pouvoir depuis 23 ans. Il exerce un pouvoir autocratique et autoritaire. Il reste sur ses positions et prend parfois des décisions extrêmes (il fait tirer sur des étudiants en grève, fait arrêter son ministre parce qu’il n’a pas su préparer le pays à la guerre). Nicolas II ne cherche pas à moderniser son pays : il ne voit pas la misère des paysans, la montée des mécontentements. La guerre est déclarée d’abord avec le Japon puis avec les pays occidentaux. Le pays s’enlise dans la misère. Après la révolution de février, Nicolas II doit abdiquer au profit de son frère (qui refuse d’ailleurs la couronne impériale). L’ancien tsar est donc fait prisonnier le 7 mars 1917. Il est retenu prisonnier avec toute sa famille : Alexandra Fedorovna, sa femme, ses 4 enfants : Olga, Tatiana, Maria, Anastasia et enfin le prince héritier Alexis. Ce dernier est atteint d’hémophilie, cette triste maladie qui contribue à une mauvaise coagulation du sang. Dans la nuit du 16-17 juillet 1918, ils sont menés dans une cave où ils seront exécutés. Tous tués, le tsar encore, c’est compréhensible, c’est lui qui a fait des erreurs, mais sa femme, et ses enfants ? L’injustice ne se fait que plus présente ! Pourtant, le mystère naît. On ne retrouve aucun corps, et plusieurs jeunes filles commencent à se faire passer pour la princesse Anastasia, dont une qui laissera longtemps planer le doute, c’est d’ailleurs grâce à elle que le téléfilm racontant sa vie fut crée. Le tsar aurait-il été exécuté seul ? Il y a quelques temps à peine, on pensait encore qu’Anastasia avait survécut, jusqu’à ce que l’on retrouve son corps. Mais lé vérité est autre, et ça, notre jeune Abigaëlle le sait. Anastasia Roumanov a effectivement survécue, puisqu’elle est sa grand-mère…
    Prénom(s): ABIGAËLLE SATINE. Ce fut en des circonstances affreuses que Mischa Romanov accoucha pour donner naissance à son seul et unique enfant, une petite fille blonde (oui, elle est blonde à l'origine) aux yeux bleus. Le père n’étant pas présent, elle décida de nommer sa petite fille Abigaëlle, un prénom plus français que Russe. Parce que oui, Abi est belle et bien Russe, mais Mischa, ce jour là, préféra savoir qu’Abigaëlle pourrait, tout au long de sa vie, cacher sa véritable identité à quiconque la lui demanderait. Quand son père arriva le lendemain, il fut très en colère d’avoir raté cet admirable événement, et encore plus en colère que sa femme ne l’ait pas consulté pour le choix du prénom. Mischa lui proposa donc de donner à leur fille un deuxième prénom, et il ne se le fit pas répéter deux fois, il accepta tout de suite et son choix ne fut pas long à faire, il opta pour Satine, il trouvait ce prénom doux, et qu’une petite blondinette pourrait parfaitement le porter. Aujourd’hui, Abi est très fière de ses prénoms, pas comme certaines personnes qui se plaignent sans cesse !
    Age: 16 ANS. Et oui, notre jolie blonde à tout juste seize ans. Cela fait à peine deux ans qu’elle a obtenu son premier scooter. Elle ne se plaint pas de son âge, elle à le droit de faire se qu’elle veut sans pour autant avoir trop de responsabilités ! Allez, plus que deux ans et c'est la majorité !
    Date & Lieu de Naissance: 1992 - RUSSIE. La belle vit le jour pour la première fois un matin, dimanche onze avril de l’année mille neuf cent quatre-vingt-douze. Et oui, ça date un peu tout cela, mais seulement de vingt ans après tout ! Elle naquit dans un grand hôpital de St-Petersbourg, en Russie.
    Lieu de Résidence: AVANT - RUSSIE / MAINTENANT - ICI.
    Clan: MEMBRE DU JOURNAL.


II- HOW ARE YOU? AND WHAT IS YOUR STORY?


    Description Physique: : PETITE - BRUNE - BLONDE A L'ORIGINE. Abigaëlle se retourna, faisant face au miroir qui occupait le devant de son armoire. Elle se fixa longuement, ça faisait maintenant bien longtemps qu’elle ne c’était pas regardé, mais après tout, elle n’avait pas besoin de le faire, son apparence ne changeait pas et ne changerait sûrement jamais, du moins durant les quelques années à venir. Elle prit donc le temps de s’examiner sous tous les détails, commençant par la tête. Ses cheveux bruns quelques peux méchés s’arrêtait en un joli et brut dégradé en dessous de ses épaules. On lui répétait maintes et maintes fois que les cheveux ‘longs’ lui allaient parfaitement bien, et elle commençait peu à peu à y croire. En y réfléchissant bien, sa coiffure s’accordait parfaitement avec sa personnalité. Petite boule d’énergie. Puis, elle se fixa, en face à face, comme si elle jouait à celui qui baisserait le regard le premier, sauf que jouer contre soi-même, ça n’est pas chose facile ! Elle avait perdu son regard bleuté, celui qui donnait envie de se noyer dedans, pour écoper d’un regard noir intense, celui qui aujourd’hui, fait fuir pas mal de monde. Elle haïssait son regard, tout le monde prétendait pouvoir lire en elle comme dans un livre ouvert grâce à son regard, mais bon, elle savait que c’était sans doutes loin d’être le cas. Sa peau, d’un blanc de neige, ne laissait apparaître aucune imperfection, s’en était presque déstabilisant, pas naturel du tout. Mais pourtant ça l’était, elle n’avait jamais mit de maquillage, n’étant pas une adepte de tous ces produits chimiques divers et variés. Ses lèvres pincées affichaient un triste spectacle, rosées à souhait, elles étaient toutes écorchés, gercées. A vrai dire elle n’y prêtait pas beaucoup d’attention. Puis, son regard chuta sur son corps, elle ne revenait pas de sa taille, mais se ferait-elle un jour à l’idée d’être si petite ? Menue, mais également petite, Abigaëlle avec quelques formes, pas beaucoup, mais c’était amplement suffisant de son côté. Mais bon, en fait, comme tout le monde le dit si bien, tout ce qui est petite est mignon ! Après s’être fixé cinq bonnes minutes dans le miroir, elle ouvrit le battant de son armoire, faisant face à une multitude de piles de vêtements. Tous les vêtements présents étaient un peu démodés, mais pas tellement, elle pouvait tout de même les porter sans gêne. Aucune jupe ou aucune robe n’était présente dans sa garde robe, elle détestait cela et n’en mettait jamais, on la traitait même parfois –seulement à cause de cela, de garçon manqué. Non mais, elle ne mettait pas de jupes, certes, mais tout de même ! Après mûre réflexion –ce qui signifie à peux près un quart d’heure chez Abi, elle opta pour un pull un peu trop large, et un jean délavé. Puis, elle enfila en quatrième vitesse sa doudoune et partit plus vite que nos petits yeux fragiles ne pouvaient le voir…
    Caractère: : PETILLANTE - ENERGETIQUE - TROP GENTILLE - RÂLEUSE. Comment définir le caractère d'Abigaëlle simplement ? Voilà qui est bien compliqué. Nous allons commencer par la patience, c’est une des qualités principales de la jeune Abi. Elle sait attendre le temps qu’il faut et a toujours eu une patience inouïe pour aider autrui, elle sait attendre que quelqu’un sache ce qu’il veut ou au contraire, ce qu’il ne veut pas. Mais évidemment, cela vaut jusqu’à un certain point, il ne faut pas aller trop loin. Ensuite, elle est très attentive, toujours à l’écoute des autres. C’est une vraie vocation chez elle que d’aider autrui, elle aime qu’on lui compte ses problèmes, même si bien sûr, elle préfère quand personne n’en a. Evidemment, je ne la qualifierais pas non plus de mère Térésa, elle est très gentille, mais peu aussi être très méchante ! Aha, je vous en bouche un coin là un ? Bon, oui, bien sûr, être « très méchante » chez elle signifie balancer quelques vannes males placées et enfoncer la personne détestée dés qu’elle le peut. Hormis ces quelques unes choses méchantes qu’elle peut faire, elle ne ferais pas de mal à une mouche. Abigaëlle est quelqu’un de très doux, elle est par exemple, plus du genre à écouter du Mylène Farmer, voir parfois du Nirvana, même ci, j’en conviens, ça n’est pas du tout la même chose, que du ACDC. Elle ne supporte pas qu’on braille par tout, préférant de loin le calme. Pour terminer dans ses qualités -je trouve que ça fait déjà pas mal-, je vais vous parler de sa franchise. Il est très honnêtement, presque impossible de trouver quelqu’un de plus franc qu’Abi. Elle ne ment jamais, et j’insiste sur le jamais, passant même parfois pour quelqu’un de naïf à dire toujours la vérité. Quitte à dire à sa propre mère (j’image puisque ça mère est morte hélas il y a de cela un certain temps) qu’elle la trouve immonde dans sa nouvelle tenue, si c’est pour ne pas mentir, elle le fera. Bon, je ne vais pas m’étaler sur ses qualités, après tout, je ne vais pas –même si j’aurais aimé le faire, la faire passer pour une jeune fille parfaite. Donc nous y voilà, ses défauts… Tout d’abord, vous devez savoir qu’Abigaëlle est têtue au plus haut point. Elle ne supporte pas qu’on lui dicte sa conduite, ça l’énerve à tel point qu’elle fait le contraire de se qu’on lui dit de faire. Elle veut être capable de prendre ses décisions elle-même, de ne devoir compter que sur elle-même. Elle est également très râleuse, quand quelque chose ne lui convient guère, croyez-moi, elle arrive très bien le faire comprendre et ne lâche pas facilement le morceau. On lui dit souvent qu’on a parfois l’impression qu’elle râle pour un rien, ce qui d’ailleurs est vrai. Pour terminer dans les défauts, Abigaëlle est plus que susceptible, elle se vexe pour un rien, sans doute tient-elle cela de son défunt père. Et quand elle est vexée, étant de nature têtue, elle est capable de ne pas parler à la personne concernée pendant le temps qu’il faudra. Bon, et bien, même si ça n’est pas tellement concerné par le caractère, j’ai bien envie de vous expliquer ses goûts. En plus, ça aidera sûrement à la cerner encore plus. Tout d’abord ce qu’elle aime : Elle adore la musique, les musiques françaises, avec de belles paroles ou alors de belles paroles, Mylène Farmer, parfois Pauline, et aussi Nirvana, même si ça n’est pas français, je l’admet. Mais ce qu’elle aime véritablement niveau musique, c’est celle des années 80, par exemple Lio avec son Banana Split, Marre de cette nana là de Patrick Bruel, Jeanne Mass etc. Elle aime également plein d’autres choses, mais la liste serait bien trop longue à faire. Et pour ce qu’elle déteste, c’est bien simple, elle hait tout ce qui peut nuire à sa famille, les égocentriques, les égoïstes et surtout –elle étant très franche, les hypocrites !


III- OTHERS


    Relationship: Elle ne connait parsonne pour le moment puisqu'elle vient à peine d'arriver.
    Code: Code Correct
    Avatar: Kristen Stewart, si on pouvait me le réserver ...


IV- YOU


    Prénom Ou Pseudo: Emy.
    Age: Tin tin ...
    Ou avez-vous connus le forum? Partenariat avec jesaisplusqui.
    Qu'en pensez vous? L'est TROP bien. (a)
    Quelque chose à dire? L'est TROP bien. (a) =D
    Présence /7: : 5/7 ?


Dernière édition par Abigaëlle S. Rumanov le Mer 18 Juin - 18:49, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: &&. Abigaëlle S. Roumanov *{ U_C   &&. Abigaëlle S. Roumanov *{ U_C Icon_minitimeMar 17 Juin - 23:38



    Histoire:
    « Mes félicitations madame, vous avez mit au monde une petite fille ! Comment voulez-vous l’appeler ?
    - Abigaëlle ! Mais... elle… elle est normale ?
    - Bien sûre madame ! Ca n’est pas parce qu’un bébé est prématuré qu’il n’est pas normal. Ils sont seulement sujets à de petites anomalies comme la taille par exemple.
    - Ouf … très bien.
    - Je vais vous laisser vous reposer et je vais peser votre petite Abigaëlle. Au revoir madame.
    - ‘revoir. »

    La vieille femme était au milieu du grand salon de sa maison, ses doigts craquaient sur le piano, on entendait le sifflement aigu du vent, et la mélodie s’émanant de son instrument de musique. A une époque, aussi ancienne soit-elle, elle avait été la meilleure, maintenant c’était peine perdu, ses doigts craquaient aussi fort que les notes sortant du piano étaient presque recouvertes par tous ces craquements incessant. Elle était maintenant la seule à se souvenir de cette soirée de « l’ancienne époque », cette soirée à laquelle elle avait été, et à laquelle elle c’était fracturé le poignet en plus de dix morceaux, à la suite de l’accident de voiture grâce à laquelle elle devait arriver seine et sauve à cette soirée. Oui, aujourd’hui elle seule pouvait se souvenir de la douleur immense qu’elle avait ressenti en entendant son poignet se briser, elle seule pouvait se rappeler des applaudissement abondants du public quand elle jouait de son instrument, du sourire de sa fille illuminé en entendant les notes sortir du piano, et en dernier mais surtout la phrase que l’ambulancier avait prononcé en voyant l’état de son poignet « Je crois que cette pauvre dame ne rejouera pas de si tôt ! ». Elle avait, en une soirée, cumulé toute la douleur qu’un être humain peut ressentir en une vie, une douleur intérieure, mais aussi et surtout extérieure. C’est peut-être et sûrement pourquoi elle insista pour que sa fille unique appelle son seul enfant Abigaëlle, se qui signifie douleur. Maintenant, on entendait le sifflement encore et toujours aussi aigu du vent, la mélodie s’émanant du piano, mais également un rire suraigu d’une fillette qui passa en trombe devant le piano de la vieille dame. C’était elle, Abi, sa petite fille, le symbole de sa douleur permanente. Instinctivement, la petite fille s’assit en tailleur devant le piano et ferma les yeux, bercée par la mélodie. Quand cette dernière s’arrêta, la fillette eut une moue de dédain, c’était dommage, la musique était finie, elle était déçue une fois de plus, comme à chaque fois que la musique s’arrêtait. Abigaëlle, puisque c’est ainsi qu’elle se nommait, se leva et alla s’asseoir sur les genoux de sa grand-mère. Celle-ci prit les mains frêles et fragiles de sa petite fille et se mit à jouer avec. Abigaëlle était fière, presque comme si c’était elle qui faisait sortir cette grave mélodie toute seule. Mais, comme rompant le charme qui c’était installé dans la pièce, deux personnes descendirent de l’escalier, la première en courant, la deuxième en levant les yeux au ciel. La première, Mischa, la mère de Abigaëlle, la seconde, Dean, le père de Abi, tous deux encore en pleine dispute. Aussitôt, la vieille dame laissa les mains de sa petite fille et les posa les siennes sur les petites oreilles de cette dernière pour ne pas qu’elle entende les mauvaises paroles de ses parents.

    « Espèce d’imbécile ! Tu n’es qu’un bon à rien !
    - Arrête de courir bécasse ! Et cesse de jurer ! Je te préviens Jane, je n’ai pas pour principe de battre une femme mais là, si je t’attrape, je te jure que tu ne te relèveras pas de si tôt !
    - Ah non, sûrement pas mon gendre, tu ne toucheras pas à ma fille. Lui lança la vieille dame calmement.
    - Votre fille ! Je vous dirais bien des choses moi, sur votre fille !
    - Allez-y mon gendre, je vous écoute.
    - Elle est folle ! C’est une tueuse, elle aime le sang.
    - Bien sûr mon gendre, et vous allez aussi me dire que le soir elle se transforme en gros bonhomme vert et qu’elle rend visite à son ami Winnie l’ourson qui en vérité est carnivore.
    - Je ne sais même pas pourquoi je vous dis ça ! Jane, demain, je t’apporte les papiers du divorce ! Et vous ma très chère Anastasia, votre secret va bientôt prendre fin ! Et oui, je crirais haut et fort que vous êtes ANASTASIA ROUMANOV dit-il avant de sortir de la grand demeure de sa belle-mère en claquant la porte. »

    La vieille dame pu enfin enlever ses mains des oreilles de sa petite fille pour pouvoir la pousser à aller jouer dans sa chambre avec ses poupées barbie. Après avoir entendu la porte de la chambre d'Abigaëlle se refermer, elle lança un regard froid et dur à sa fille. Cette dernière n’avait, même en sachant ce que sa mère avait enduré, jamais eut de compassion envers elle et avait toujours été exécrable, la vieille femme avait cependant toujours gardé les bras bien hauts, pendant les crises d’adolescence de sa fille, pendant ses années de débauche etc. Mais aujourd’hui, elle ne s’amusait plus à relever de nouveaux défis, aujourd’hui elle était fatiguée et en avait marre d’avoir plus à s’occuper de Jane, une adulte, que de sa petite fille Abi. Elle se leva et contourna le piano à queue pour se poster en face de sa fille. Elle leva la main et désigna la sortie, la porte que son gendre avait traversé une minute auparavant.

    « Mischa j’en ai plus que marre ! Tu ne te comportes guère mieux qu’une gamine. Et en plus, je me demande pourquoi je t’ai défendu, d’abord parce que tu ne le mérites pas, mais en plus parce que si ça se trouve, bien que ça soit tiré par les cheveux, ce qu’il dit est vrai ! Le pire dans tout cela, c’est que tu ne t’occupes même pas de ta fille, à croire que tu l’a fait uniquement pour me faire plaisir ! Alors maintenant, à toi de choisir, soit tu arrêtes toutes tes conneries et tu deviens une vraie mère raisonnable, respectable et respectée, soit tu sors de ma vie !
    - Au revoir maman, je m’en vais ! Et tu peux garder la gamine, après tout tu as raison, je ne suis pas une bonne mère, et en plus je l’ai fait pour toi. »

    Encore une fois, la porte d’entrée avait violemment claqué. La vieille femme s’assit sur le canapé de cuir blanc, elle aperçut sa petite fille assise sur une marche de l’escalier, elle aurait du s’en douter, Abigaëlle avait tout écouté. La fillette descendit et vint s’asseoir sur sa grand-mère. Cette dernière caressa les bouclettes blondes de sa petite fille. Sa fille était une vraie garce, elle savait pertinemment qu’elle lui donnait de faux espoirs en lui laissant la gamine, Mischa l’avait seulement fait parce qu’elle savait que Dean allait vouloir récupéré Abi. Bizarrement, la vielle dame se rendit compte que même en sachant que c’était pour lui donné de faux espoirs, elle allait saisir ces bribes d’espoirs et s’y accrocher très fort …

    Une ombre gracieuse et aussi noire que l’ébène se déplaçait entre les meubles de la grande maison de la vieille pianiste, Lucie (ou alors Anastasia si vous souhaitez utiliser son véritable prénom). La vieille femme, elle, dormait à points fermés après avoir prit son somnifère. L’ombre mystérieuse entra donc dans le salon et s’attarda sur le piano, tournant autour, l’observant sous toutes ses coutures. Puis, elle monta à l’étage. L’ombre poussa la première porte, une chambre d’enfant, en désordre, et un mot pour la femme de ménage : « Ne touchez à rien, c’est resté comme ça depuis son départ et je ne tiens pas à ce que ça change. ». Puis, en un mouvement de recule, l’ombre referma très vite la porte, pour se pencher vers la deuxième, une vieille femme dormait dans son lit. La forme noire s’approcha dangereusement du lit de la vieille femme quand celle-ci se réveilla en un sursaut. En apercevant quelqu’un penché au dessus de son lit, elle alluma instinctivement sa lampe de chevet et se mit à pleurer et voyant de qui il s’agissait.

    « Abigaëlle, ma chérie ! Mais que fais-tu là ? Tu devrais être à Londres, avec ton père.
    - Mamie, j’ai quatorze ans et papa ne me dicteras plus jamais ce que je dois faire, et ce que je veux aujourd’hui, c’est vivre avec toi !
    - Oh ma chérie… Mais c’est ton père qui a ta garde, et malheureusement, je peux rien contre ça.
    - J’irais voir Mme Simmons, la voisine, demain. Elle est juge pour enfant et je lui expliquerais tout.
    - D’a… D’accord.
    - Oh merci mamie !
    - Avais-je le choix ? »

    La jeune fille se jeta dans les bras frêles de sa grand-mère et s’endormit aussitôt, bercée par la mélodie que fredonnait la vieille femme à son égard, la dernière qu’elles avaient joués avant d’êtres séparés. Le lendemain, Abigaëlle se réveilla seule dans le grand lit de sa grand-mère, toujours bercée par cette douce mélodie. Mais cette fois, elle ne l’imaginait pas, la mélodie était là, sa grand-mère était donc au piano ! La jeune brunette dévala quatre à quatre les marches de l’escalier et se rua sur le tapis en face du piano, elle s’assit en tailleur, ferma les yeux, elle commença à pleurer doucement. Comment avait-elle pu être séparé de ça ? Cette sensation si paisible que l’ont ressent lorsqu’on entend cette agréable mélodie, lorsqu’on est serrée très fort par sa grand-mère, quand celle-ci pleure en vous regardant et vous dit « ma chérie, tu as tellement grandit… j’ai honte d’avoir raté une année entière de ta vie ». Quand la musique prit fin, Abigaëlle se leva et alla s’asseoir aux côtés de sa grand-mère et elles se mirent à jouer d’un même son cette étrange mélodie. Et cette fois-ci, comme dans un rêve impénétrable, rien ne vient gâche leur bonheur. Elles jouèrent le morceau de nombreuses fois avant que Abi ne décide d’aller frapper chez la voisine, c’était maintenant ou jamais. Suivit par sa grand-mère, elle se rendit sur le palier de la juriste et frappa. Presque instantanément, cette dame tant attendue apparut. Elle était petite, mince, et devait avoir la cinquantaine, un gros chignon de ses cheveux bruns surplombait sa tête et elle les invita à entrer. Abigaëlle ne perdit pas son temps, à peine rentrer dans la grande demeure de la juriste, elle commença :

    « Bonjour Mme Simmons, merci de nous accueillir, j’aimerais vous demander un service.
    - Vas-y Abigaëlle, je suis là pour ça ma chérie.
    - Mon père à ma garde, mais je… je voudrais habiter chez mamie, alors avant-hier, je suis partie de chez moi, j’ai fait du stop, et je suis arrivé chez grand-mère. Je… je ne veux pas repartir là bas, papa est tellement prit par son travail que j’ai tissé plus de liens avec ma nourrisse, alors que j’ai, je le rappelle, quatorze ans, qu’avec lui !
    - Je n’ai pas l’habitude de prendre une affaire juste comme ça, mais c’est d’accord. Tu seras placé provisoirement chez ta grand-mère dans l’attente de ma décision, j’examine ton dossier et je te dirais cela. Mais sache que ça prendra plusieurs semaines. Et d’ailleurs, plusieurs semaines que tu passeras, coûtent que coûte, chez ta grand-mère. Je vais de ce pas prévenir ton père.
    - Merci, merci beaucoup, et au revoir.
    - Au revoir Abigaëlle. »

    Après que Abigaëlle eut refermé la porte de chez Martine Elizabeth Simmons, des semaines passèrent, sans nouvelles, mais Abi s’en fichait autant que sa grand-mère puisque c’était toujours du temps de gagné de toutes façons pour elles deux. De son côté, le père de Abigaëlle, Dean, menait une lutte acharnée pour convaincre qui voulait bien l’écouter que sa grand-mère n’avait plus toute sa tête et que sa fille avait besoin impérativement de lui. Pendant que son père crachait sur le dos de sa grand-mère, Abigaëlle apprenait le piano, et c’était d’ailleurs devenu une véritable passion. Une passion qui allait peut-être, ce soir de décembre, devoir prendre fin. Le « dring » tant attendu retentit, laissant apparaître leur voisine. Celle-ci avait un air sérieux et les regarda toutes les deux sans cligner des yeux.

    « Joanne, j’ai prit en compte tout ce que tu m’avais dit et nous en sommes venus à la décision de te laisser avec ta grand-mère. Mais cependant, ton père à tout de même un droit parental qui s’applique, d’habitude les enfants dans ton cas vont tous les week-end chez la personne concernée, en l’occurrence ton père. Mais la Russie et l’Angleterre étant deux pays éloignés, ton père aura le droit de te rendre visite quand il voudra. »

    Sur ces quelques mots, la juriste disparu, laissant Abigaëlle et sa chère « mamie » nagées dans le bonheur. Qu’est ce qui enchantait le plus Abi ? Se retrouver sous la garde de se grand-mère ou savoir qu’elle ne reverrait son père que quand il viendrait, en l’occurrence, jamais ? Ca, dieu seul le sait. C’est donc sur un ton enjoué que Abigaëlle considéra sa grand-mère et lui dit :

    « Tiens mamie, et si allait regarder le nouveau film « De battre, mon cœur s’est arrêté » ? »

    Après cela, Abigaëlle n'eut plus aucun problème, son cousin aîné la rejoignit quelques semaines plus tard et ils vécurent une petite vie plus que tranquille. Abi se lança dans des études en criminologie jusqu'à ce que sa grand-mère adorée atteigne la fin de sa petite vie. Maintenant, la jeune brunette à démangé et fait partie intégrante de l’élite, elle mène une superbe vie hors mis le fait qu’elle est obligé de fuir son père. Après tout, elle n’a pas encore atteint la majorité. C'est donc pourquoi elle est a quitté la Russie pour cette université, là au moins, son père ne pourrait pas la retrouver !


Dernière édition par Abigaëlle S. Rumanov le Mer 18 Juin - 18:50, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: &&. Abigaëlle S. Roumanov *{ U_C   &&. Abigaëlle S. Roumanov *{ U_C Icon_minitimeMar 17 Juin - 23:47

Je te reserve l'avatar ^^

Bonne continuation pour ta présentation

(vive la russie xD)
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MessageSujet: Re: &&. Abigaëlle S. Roumanov *{ U_C   &&. Abigaëlle S. Roumanov *{ U_C Icon_minitimeMer 18 Juin - 12:49

Bienvenue sur Host Club =D

# J'me trompe où t'adore l'histoire de la famille Roumanov ?
Si c'est bien le cas, je pense qu'on s'entendra à merveille xD #
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MessageSujet: Re: &&. Abigaëlle S. Roumanov *{ U_C   &&. Abigaëlle S. Roumanov *{ U_C Icon_minitimeMer 18 Juin - 13:50

    MERCI LEAH !
    ET DEBORAH, OUI J'ADORE ! VIVE ANASTASIA ET LES ROUMANOV ! =D
    Razz
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MessageSujet: Re: &&. Abigaëlle S. Roumanov *{ U_C   &&. Abigaëlle S. Roumanov *{ U_C Icon_minitimeMer 18 Juin - 18:51

    Désolée, le test de rp ne passait pas dans l'un ou l'autre de mes deux posts.


Test RP:
Spoiler:

VOILAAAA !
TERMINEEEEE !
DU MOINS JE CROIS ...
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MessageSujet: Re: &&. Abigaëlle S. Roumanov *{ U_C   &&. Abigaëlle S. Roumanov *{ U_C Icon_minitimeMer 18 Juin - 19:06

Rien à dire! Validée xD
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MessageSujet: Re: &&. Abigaëlle S. Roumanov *{ U_C   &&. Abigaëlle S. Roumanov *{ U_C Icon_minitime

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