Want Me ? I Want You [Judy]

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C'était tôt le matin et Owen avait décidé de faire un petit jogging. Ainsi, le jeune blondinet se mit à courir dans le parc vers sept heures du matin. Il était habillé d'un T-Shirt et d'un short tout simplement avec des basket bien sûr à la mode, vu qu'il en fallait pour être accepter dans cette société superficielle ! Ainsi, le jeune adolescent se mit courir, souriant aux quelques jeunes filles qu'il pouvait voir. Enfin, il espérait aussi que cela n'allait pas finir comme avec cette blondinette. C'était quoi encore son nom ... Heaven, ha oui voilà. Enfin, c'était chouette la soirée qu'ils avaient passée tout les deux. Surtout la partie quand ils étaient dans la chambre d'hôtel d'Heaven ! Ca faisait du bien de penser à autre chose qu'à être un adolescent comme les autres. Enfin, Owen avait à nouveau une vie sexuelle après tout xD. Il était assez content en repensant à cela d'ailleurs. Et pour une fois qu'Owen prenait son pied dans quelque chose. Ainsi, pour en revenir à ce que faisait Owen, il se défoulait avec un sourire aux lèvres. Et dire que personne ne sait que ça faisait si longtemps qu'il n'était pas heureux et que là, d'un coup, le bonheur revenait Enfin, il allait pas raconter sa vie à tout le monde non plus !

Judy s'était levée tôt ce matin, et c'était assez rare tout de même chez la grande blonde qu'elle était. Les seules fois où elle se levait à cette heure, c'était toujours pour la même raison. Courir dans le parc avant d'aller en cours. Avant de supporter sa classe... Cette classe où la majorité du Cercle s'étaient retrouvés. Ce n'était pas pour leurs notes brillantes pourtant. Merci la réputation de papa et maman...

Vêtue d'un débardeur blanc, et d'un short de sport décontracte, Judy avait commencé la course assez rapidement. De toute façon, Judy ne courrait pas pour la durée, mais pour la vitesse. Courir à en perdre haleine, être essoufflé au point d'avoir l'impression de manquer d'air, et de ne plus le trouver. Dans ces moments là, elle se sentait presque bien, car on ne pensait à rien. Et c'était bel et bien le but de l'opération. Alors que cela faisait vingt minutes qu'elle courrait le plus vite qu'elle le pouvait, elle croisa l'un des cercles d'hôtes. L'un des rares qui n'était pas dans sa classe. Elle qui venait ici pour les éviter. Mais elle passa vite son chemin, puisque lui même était en train de courir. Au bout d'un moment, elle s'arrêta totalement essoufflée.

Elle se déplaça vers l'herbe quittant les allées et alla s'appuyer contre un arbre. Moment de tranquillité, elle ne pensait plus à rien. Reprenant tranquillement sa respiration, Judy commença quelques étirements pour éviter d'avoir des courbatures. Tout d'abord debout, elle se pencha en avant pour toucher le sol, puis après quelques instant, elle s'installa avec souplesse au sol, écarta les jambes, et se penchant en avant, la tête baissée pour mettre ses mains le plus loin possible. C'est le bruit de pas s'approchant qui lui fit redresser doucement la tête.

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Qui aurait pu croire ce qui allait se passer ? Personne, il fallait le voir pour le croire et sachait que personne ne le savait, personne ne savait le terrible secret qui liés deux âmes, deux âmes qui s'aimaient ardemment mais qui ce secret les empêchaient l'épanouissement de cet amour si torride, si mutuel, si vraie. Le jeune homme qui en ce début de journée était en train de courir a en perdre haleine, il était sportif, il n'avait pas besoin de faire cela, son corps était a envié mais il vivait, il était bon vivant et on pourrait croire qu'il souffrait d'hyper activité, on pourrait le croire mais c'était tout simplement un trop bon-vivant, l'Ipod aux oreilles, les deux avaient rendez-vous comme tout les mardis, bien sur personne était au courant, et rarement de gens étaient présents si tôt pour ce fatiguer a courir, prendre le bon air, la raison derrière cette motivation resté inconnu cependant, un indice ? Elle venait de lui passer devant les yeux, mais bien sur il n'avait rien dit, rien fait, complètement ignoré. C'était donc une fille, oui. Une fille pas comme les autres, une fille qui avait pris son cœur, et dont il avait pris le cœur, les deux épris l'un de l'autre alors que lui était follement amoureux d'elle, bien sur le bonheur absolu n'était pas envisageable entre eux, l'un faisant passer des filles et l'amitié avant tout tandis que l'autre était prête a tout pour leur perte. Vous l'aurez deviné, elle faisait partie du Lobelia Club, ce n'était pas sa faute si elle y était, elle l'avait fondé, pourquoi ? Parce que lui était dans le cercle d'hôte,s une des raisons principales, et secrètes de sa participation. Un amour fou comme il avait dit, un amour pratiquement obsessionnel qui les rongeaient tout les deux au fur et a mesure du temps. Alors qu'il faisait de nouveau un tour, exprès, pour passer devant elle et enfin avoir sa récompense, essayer de réaliser qu'il ne se touchait, voyait que rarement, tout était dur pour eux mais il en était ainsi car les deux avaient fait leur choix, il restait simplement ne question a répondre; Combien de temps cela allait-il duré ?

Arrivant près d'elle, pris d'une soudaine insouciance, il avança vers elle, elle faisait des exercices, qu'elle était sexy, il en avait de la chance, ou plutôt il en avait pas, ne pas toucher une créature aussi sexy que douce, il fallait faire attention. Il n'avait pas regardé si quelqu'un qu'il connaissait était là, il s'en foutait mais il l'attira contre lui avant de la laisser tomber contre lui, sur l'herbe, l'embrassant d'un baiser totalement amoureux, passionné et fougueux. Son cœur battait plus vite qu'auparavant, le jogging n'en était pas vraiment la cause, retrouvait son amour lui faisait tellement du bien, elle allait lui en vouloir mais il s'en foutait, il le savait.

<< Tu m'as.... tellement... manqué... >>

Voici enfin le secret révélé, il faudra tenir votre langue Wink

!

Est ce que tout cet étalage de sentiment n'était pas poussé ? Judy elle même ne pensait pas vraiment que cela était sérieux. Elle avait plus tendance à le détester pour ce qu'il représentait. Bizarrement, elle parvenait à apprécier sa personnalité. Mais le jeune homme avait refusé de quitter le club d'hotes alors que leur relation aurait pû devenir sérieuse... Du coup, le côté d'elle qui le détestait, était de plus en plus fort à chaque fois qu'elle le voyait. Pourtant ils s'entendaient vraiment bien sans toutes ses circonstances.

Mais la fierté de la jeune fille faisait qu'elle ne voulait pas s'attacher à un garçon qui appartenaità ce club, et qui en plus refusait de le quitter pour elle. Pour l'instant, elle ne lui avait rien dit, mais pourtant l'envie de mettre fin à toute cette mascarade lui trottait dans la tête depuis un moment. Elle avait volontairement choisi de l'ignorer ce matin. Mais visiblement le message n'était pas passé. Il avait cru, et cela était aussi logique, qu'elle l'ignorait parce qu'il y avait du monde autour. Elle s'était éloignée de lui histoire de faire ces exercices tranquillement de son côté. Elle avait senti une présence approcher, elle espérait vraiment que ce n'était pas lui. Elle était un peu perdu dans ses pensées. Mais non ce ne pouvait pas être lui, pas devant tout le monde. Il n'était pas assez fou pour commettre une telle erreur.

Seulement quand elle eut redressé la tête, elle vit bel et bien que c'était lui. Mais qu'est ce qu'il faisait ? Judy le repoussa presque quand elle sentit qu'il l'attirait contre lui. Il était malade ? Qu'est ce qu'il lui prenait de faire ça alors qu'il y avait plein de monde autour ? Alors quand lui ça l'arrangeait on s'exposait sans soucis, mais pour ce qui était d'elle on s'en fichait, il était vraiment gonflé. Elle se sentit tomber contre lui dans l'herbe alors qu'il commençait à l'embrasser. Qu'est ce qu'elle pouvait le détester dans ces situations. Elle ne savait pas comment réagir. D'un côté elle aimait ça, et de l'autre, elle mourrait d'envie de le gifler ! Elle répondit quelques secondes au baiser avant de réaliser ce qu'il était en train de se passer. Elle s'écarta brutalement de lui, se redressant, toujours sur lui.

- Qu'est-ce qui te prends ? T'es complètement malade !

Elle avait haussé la voix, et les gens qui étaient là, qui les regardaient sûrement depuis un moment, avaient les yeux rivés vers eux. Quand elle réalisa leur position, et ce que cela allait entrainer, elle se leva brutalement, s'écartant le plus possible. Elle lui lança un regard noir. Bien, là, elle était énervée, mais ça, vous l'aurez compris tout seul.

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Owen ne sut que dire, il fut repoussé rapidement après que la jeune femme ai, si peu le temps, répondu au baiser que lui avait offert le jeune homme mais seulement la jeune femme n'était pas dans un état capable d'accepter quoique ce soit. Alors qu'il la regardait partir vers un tout autre chemin, le jeune homme ne disait rien, restant là allongé sur l'herbe, les gens le regardaient, il ne bougeait toujours pas, il comprenait peu a peu, le soleil était la, il faisait frais, la journée parfaite pour promener en couple mais lui n'était pas avec sa petite amie qui venait de le repousser alors qu'elle n'avait jamais fait ça, le jeune homme n'en revenait pas mais bon, il ne disait quand même rien, n'amorçant aucun geste, que lui arrivait-elle ? Il n'en savait rien, mais il avait sa petite idée sur cela, oui il le savait mais il n'en était pas sur même si pour lui sa paraissait vraiment dur. La jeune femme n'avait toujours pas accepté qu'il ait préférait garder son club que de rester avec elle en dehors de tout ça, c'était sans doute une des principales raisons pour lequel la jeune femme était une Lobelia, enfin bref' il ne disait rien d'autre et se leva quand même, il se devait de la rattraper pour qu'il s'explique, une nouvelle fois autour des sujets qui faisait mal, mais le jeune homme avait peur, peur de la perdre, il l'aimait tant, mais en même temps il le méritait, il abusait de sa gentillesse, sans doute, mais c'est un homme on ne le change pas si facilement. Il passa par un autre chemin pour couper le chemin dont il avait supposait ou elle allait, en tout cas il tomba pile sur elle, enfin elle était a une dizaines de mètres devant lui qu'il rattrapa en trottinant jusqu'à elle, lui bloquant par la suite la route et disant d'une voix légèrement contrôlé mais ou on pouvait percevoir le mécontentement.

<< Salut quand même ! Ce qui me prends ? Rien je suis juste amoureux de toi, rien de plus ! Qu'est-ce qui te prends à toi plutôt ? Je croyais que tu aurais apprécié que j'outrepasse les autres et que je pense plus à nous qu'au club, mais ce n'est pas très grave ! A moins que tu es des choses a me dire ? Je suppose qu'il y en ai beaucoup vu ton état.. . >>

Il la regarda dans ces beaux yeux verts qui le foudroyait, ne disant plus rien d'autre, attendant sa réponse.

Judy avait continué d'avancer. Elle avait senti que le jeune homme était resté sur place derrière elle, tandis que son pas se faisait de plus en plus rapide. Elle avançait, ses yeux fixant le sol, la tête remplie de questions. Elle était enervée, perdue, troublée... Elle ne savait plus quoi penser. Ce petit con, car oui, il était un petit con, la poussait à bout. Pourquoi ne quittait-il pas ce maudit club ? Il croyait vraiment qu'elle allait accepter de sortir avec lui alors qu'il fricoterait avec la majortié de la gente masculine du lycée ?

Déjà qu'elle avait eu du mal à lui accorder sa confiance, car il faut le dire leur relation n'avait rien d'amical ni d'amoureux au début. Judy portait et porte toujours une véritable haine envers le Cercle d'Hotes. Tout le monde le savait elle était féministe, pure et dure, alors qu'attendait il ? Qu'elle abandonne ses idéaux pour sa belle guelle ? Le problème, c'est qu'elle l'apréciait, voir plus, mais elle ne l'aurait jamais avoué. Il n'avait pas que sa belle guelle. Elle aimait partager ses avis, souvent divergents qui portaient à débat. Elle aimait aussi comment il pouvait se comporter quand ils n'étaient que deux. Etait il possible d'aimer et de détester quelqu'un ? Cela aurait plutôt bien résumé la situation dans laquelle Judy se trouvait.

Et en ce moment même, elle était dans la période je te déteste. Surtout qu'il les avait exposé aux yeux de tous. Le fait qu'elle sorte avec lui en secret, ne le serait plus du tout. Devait que beaucoup de rumeurs circulaient sur elle, mais celle là serait le pompon ! Alors qu'elle avançait toujours, donnant un coup de pied rageur dans un cailloux, Judy entendit des bruits de pas derrière elle, et en à peine quelques secondes, Owen se trouvait devant elle, lui bloquant le passage. Elle écouta son monologue, dans lequel il la tenait presque pour fautive de tout cela. Visiblement lui aussi n'était pas content. Ils allaient finir par se sauter dessus parti comme c'était parti. Il fallait quand même se méfier, Owen était un spécialiste des arts martiaux... Judy prit la parole, répétant d'une voix furieuse :

- Que tu outrepasses les clubs ? Ca s'est sûr tu t'en fiches que tout lemon de te voit embrasser une Lobelia. Au contraire, ça fait de la bonne pub ! Tu voudrais que je m'affiche à ton bras, alors que tu restes dans ce maudit cercle à séduire les premières idiotes venues ? Tu me crois aussi stupide que ça ?

Judy avait toujours eu un franc parlé. Il voulait savoir ce qui lui prenait ? Et bien voilà, c'était fait, il le savait. Elle le regardait droit dans les yeux puisqu'il était en face d'elle. Elle s'écarta de nouveau de lui pour aller s'appuyer contre un arbre. Elle passa une main lassive dans ses longs cheveux blond et ajouta :

- Désolée Owen, mais moi je ne partage pas. Tu aimerais ça me voir draguer le premier venu et mon excuse serait : Mais t'inquiètes pas chéri, c'est pas serieux, c'est juste pour le club si je l'embrasse !

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Le jeune homme avait, légèrement, dépassé les bornes certes, il n'avait jamais pris au sérieux la belle blonde, mais pour une fois il essaya. Il voulait essayer de la comprendre, de sentir ce qu'elle avait, mais c'était dur, c'était un mec, et les mecs n'étaient pas fait pour comprendre la gente féminine, de plus il était dans un club strictement machiste, de quoi ne pas arranger ses affaires mais ce n'était pas sa faute s'il était tombé amoureux de cette belle blonde même si c'était une Lobelia. En tout cas elle avait commencer a parler, elle disait que sa lui ferait de la bonne pub si on le voyait embrasser, surement mais le jeune homme aurait dit la vérité, alors qu'elle était vraiment énervée, déçue, attristée, lassée, bref' elle en avait marre et lui en était la cause, il avait songé a arrêter le club d'hôtes mais il ne savait pas comment réagirait le reste du groupe, il saurait surement attiré des choses dessus, enfin ce n'était pas une décision a prendre seul, il devait en parler avec son ami, le seule n qui il avait une confiance entière. Elle se disait qu'il la croyait stupide, elle semblait jalouse, c'est ce qu'il comprit, le jeune homme ne voulait pas sourire, la jalousie était un signe d'attachement, d'amour. Le jeune homme la regarda bouger vers un arbre, elle lui disait clairement qu'elle ne partageait pas ce genre de choses, autrement dit, lui. Elle lui donna un exemple qui avait de quoi lui chauffer les nerfs, non il n'aimerait pas.

- Judy.. je ne savais pas que tu étais aussi jalouse, je suis touché a vrai dire, et je pense qu'on devrait penser sérieusement a ses histoires de club. Si la situation serait inversé j'aurais exactement agi comme toi c'est juste que je ne l'ai pas comprit assez tôt.. . Je ne te demande pas pardon, tu me l'accorderas quand tu le voudras.. . Je veux juste profiter de cette journée avec toi, envisager une solution véritable pour nous deux, je serais prêt a tout pour toi.

Le jeune homme la regarda alors dans les yeux, s'avançant, il était amoureux et était sans doute redevenu docile, lui-même, sans la popularité qui monte a la tête, sans ces filles, il en voulait une, rien qu'une, et c'était une jolie blonde aux yeux verts qui se trouvait actuellement en face de lui, prenant doucement sa main qu'il caressa de son pouce, espérant qu'elle ne l'y enlève pas, il voulait s'afficher avec elle pour montrer qu'il arrêtait le club.

Non, vraiment là s'en était vraiment trop pour Judy. Il ne comprenait vraiment rien à rien. Evidement, Judy appréciait le garçon, mais finalement, ils n'étaient vraiment pas fait pour être ensemble. Judy doutait beaucoup trop de la sincérité du jeune homme de toute façon. L'aimait-il vraiment comme il le prétendait, où croyait il l'aimer parce qu'elle était ce qu'on appelait un fruit défendu ? Une sorte de chose interdite. Et comme tout ce qui est interdit, on trouve bien plus intriguant. Non, vraiment cet élan d'affection qu'il avait eu, elle n'avait pas apprécié. Aux yeux de tous, il allait ruiner son image. Elle parle d'image quand lui parle d'amour me direz-vous ? Mais s'ils avaient décidé de cacher leur relation avant de s'exposer aux yeux de tous, c'était bel et bien pour cette raison ! Ni l'un ni l'autre n'était sûre de leurs sentiments, et ils ne voulaient pas s'afficher. Alors lui, du jour au lendemain, avait changé d'avis. Lui demander son avis ? Non, pas la peine... Vraiment, tout ces membres étaient les mêmes. Ils étaient macho et ne pensaient qu'à leur propre plaisir.

Elle était presque certaine qu'il allait la larguer dès que Adam ou Ethan le lui dirait parce que leur relation devenait trop longue, et donc ternirait l'image du club. Il était coincé dans son club, et elle dans le sien. Alors quand il lui sortit tout un blabla sur sa soit disante jalousie, Judy se mit littéralement à rire. Elle jalouse ? Non, il ne comprenait vraiment rien à rien. Elle n'avait pas répondu tout de suite. Il ne lui en laissa pas le temps, car il lui prenait la main. Il avait un geste qui se voulait affectif. Les yeux de la jeune fille fusillèrent le garçon, et elle retira d'un geste sec sa main de la sienne. Elle fit mine de l'applaudir et lui répondit :

- Oh mais quel acteur, on y croirait presque. Non mais vraiment... Jalouse ? Je ne porte pas à ton égard assez de sentiments pour être jalouse de quoi que se soit. Je pense simplement au fait que tu te sers de mon image, et que la détruire n'est pas un problème pour toi ! Tu es égoïste ! Je ne veux pas m'afficher avec toi alors que tu serais avec d'autres filles. Je passerais pour une idiote. Voila ce qu'elle te dit ma jalousie.

Judy se dégagea de l'arbre, non il était trop près d'elle. Il fallait qu'elle de la distance entre eux. Se tournant vers lui, d'une voix lasse elle finit par lui dire :

- Je suis désolée, mais il est un peu tard pour les excuses. Je crois qu'on devrait arrêter nos bêtises maintenant.

Voila, c'était dit. Judy avait la respiration difficile, et les larmes lui montaient aux yeux. Larmes de rage, d'énervement, mais aussi de tristesse. De toute façon toutes ces histoires, ce n'étaient vraiment pas fait pour elle. C'était sans doute ce qu'il y avait de mieux à faire de toute façon.

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