| Tu T'EnNuiS ? PaS PoUR LonGteMpS ! | [FReE]

Judy s'ennuyait ferme. Mais quand elle disait s'ennuyer, ce n'était pas rien. Elle qui était toujours en train de sortir à droite et à gauche, la jeune femme qu'elle était se retrouvait toute seule pour ce week end ! Ces amies étaient toutes plus ou moins occupées avec leurs familles, révisions, et autres activités diverses, du coup elle s'était retrouvée toute seule. Trainer dans sa chambre ? Très peu pour elle ! Même si elle était toute seule, elle préférait largement sortir que de rester plantée devant l'ordi.

Après s'être habillée d'un short, de collant chaud noir, et d'un petit pull, elle enfila sa veste, attrapa son sac assorti avec le tout, et fila de chez elle. Le temps avait radicalement changer ! Il faisait a présent super froid, et elle avait dû laisser tomber les tenues d'été. Elle regrettait à l'instant même d'avoir oublié de prendre une écharpe. Tant pis ! Qu'allait elle pouvoir faire ? A votre avis, une fille qui sort, toute seule, un porte monnaie rempli ? Et oui ! Du shopping ! Alors pendant plus de deux heures, elle parcouru les boutiques de vêtements luxueuses où elle avait l'habitude d'aller. Le point positif, c'est que si elle hésitait entre trois hauts, elle prenait les trois ! L'argent n'était pas un problème pour elle. Assez contradictoire pour une fille qui rejette les idées de machisme, mais qui tombe dans cette superficialité qu'est la mode. Mais bon, tout le monde ne peut pas être parfait ! Elle passa de magasins de vêtements, à parfumerie et boutiques de maquillage.

Après tout cela, fatiguée de marcher et de porter tout ces sacs... Elle décida d'aller dans un petit café histoire de se poser, et de se réchauffer un peu. Peut-être rencontrerait-elle des gens finalement. Car la solitude ce n'était pas forcement ce qu'elle préférait. Limite, se disputer avec quelques l'amusait d'avantage. Oui, oui caractère particulier que voulez vous ! Bref, une fois dans le café, elle posa ses sacs dans un coin, et commanda un chocolat chaud ainsi qu'un cookie. Elle regardait les gens passer, jusqu'à ce qu'elle aperçoive un visage qui lui était familier.

[ Jespère que ça te dérange pas ^^ ]

Journée ennuyante pour Nathaniel Riverstone. Le beau jeune homme de 17 ans se trouvait dans sa villa de North District. Ses parents n'étaient jamais là, mais quand il y étaient, ils le montraient. Tout ce que les interessait c'était les Notes de Nate. Et puisqu'il avait de bonne note et était riche, il était dans la classe 1-A . Il faisait toujours partit de l'élite. Donc aujourd'hui, Nate était a la villa, et ses parents revenuent de leur villa située a Rome voulais qu'il applique dans les Université. Ses parents voulaient qu'il aille a Princeton. Mais Nate n'avait aucune envie d'y aller. Alors il était enfermé dans sa chambre en espéran que ses parents oublient son existence. Mais tout ses espoir furent rompuent quand sa mère cria du rez de chaussé

« NATHANIEL RIVERSTONE ! VIENT DANS LE BUREAU DE TON PÈRE MAINTENANT! »

En effet, ses parents étaient les seuls a l'appeller Nathaniel. En fait, sa grand mère l'appelllait par son nom complet, Nathaniel Joachim Riverstone, mais là n'était pas la question. Il détestait son nom, alors tout le monde, même les professeur l'appellait Nate. Quelques filles comme ses meilleures amies l'appellaient Natie, mais rare étaient celles qui l'appellait ainsi. Alors il descendit avec toute la lenteur dont il était capable pour finalement se rendre dans le bureau de son père. Quand il y arriva, il vit ses parents debouts, l'air pas du tout content. A vrai dire, ils avaient l'air furieux. Le père de Nate prit la parole.

« Que faisaient ces lettres de Brown, Harvard, Yale et Darthmouth dans ton bureau Nathaniel? Nous avions décider ensemble que tu irait a Princeton comme moi et ta mère ... »

Le nous excluant la personne qui est concernée, soit Nate, le jeune homme allait répliquer quelque chose, quand il vit son père foutre toutes les lettres a la poubelle. Il dit alors en colère

« Papa ! Pourquoi t'as foutu les lettres a la poubelle! Peut-être que moi je veut aller a Brown, ou encore Yale!? »

« Fiston, tu va aller a Princeton, comme moi, ton grand-père ... »

Nate lui coupa la parole

« Mais moi je ne veut pas aller a Princeton. D'ailleur, ça ne concerne que moi! »

Nate partit subitement, il était furieu contre son père, et il n'entendit pas ses parents l'appeller. Il mit ses bottes, et son manteau confectionné par Calvin Klein, Même si il était pas fan de mode, tout riche se doit d'avoir des habits de riche. Il sorti a l'extérieur, et se mit les deux pieds dans la neige. Super. Il ne lui restait plus qu'a aller se trouver une place au chaud. Partout sauf la demeure Riverstone. Alors il marcha d'un pas rapide vers sa voiture. Ses parents avaient une limousine, mais Nate aimait bien conduire lui même. Alors il prit le volant de sa porsche noire et prit la direction du mall.

Quand il arriva là bas, il se demanda dans qu'elle pétrin il s'était fourré. Une porsche, ça passe pas inapperçu, et il faut dire que Nate non plus. Alors il sortit de sa voiture, et se précipita dans le mall. Un café. De la caféine, c'était exactement ce dont il avait besoin. Il commanda un café noir, et dès qu'il le reçut, paya. Il commença a marcher, histoire de faire quelque chose. Puis il vit au fond du café Judy. Une belle blonde au yeux bleus, qui était dans sa classe. Il l'avait souvent remarquer, et il savait qu'elle était dans le clan Lobélia. Alors il s'approcha de sa table, et lui fit un sourire.

« Salut Judy ... J'peut m'asseoir ? »

Bien installée sur une banquette en cuir du café, Judy était entourée de ses sacs de shopping. Au moins ça lui tenait compagnie. Bientôt, elle allait se mettre à parler à son ami sac Gucci, et ensuite proposerai un morceau de son cookie à un sac Versace. Non, vraiment... La solitude ne lui réussissait pas vraiment. Elle préférait largement avoir la compagnie de quelqu'un, quitte à ne pas l'apprécier. Mais alors qu'elle avait fait le tour du café branché où elle se trouvait, elle reconnu au loin Nate. Ce n'était pas comme ci ils se connaissaient énormément, mais il était dans sa classe et tout ce qu'elle savait sur lui se résumait en son prénom et au fait qu'il n'appréciait pas vraiment les membres du Cercle d'hôte.

Alors, il était vrai que rien que cela lui suffisait largement pour se permettre de lui adresser la parole. Oui, oui, c'est un brin sélectif comme façon de faire des connaissance. Mais non, elle n'était pas toujours comme ça... Elle avait même du mal à le reconnaître mais il lui était déjà arrivé de bien s'entendre avec des clientes du club. Le pire étant qu'elle avait flirté de très près avec l'un des membres du cercle... Chose qui n'avait pas été des plus futés, surtout de la part de la jeune fille qui avait plutôt bien retenu la leçon.

Bref, elle était loin de se douter que le jeune homme venait d'avoir une altercation avec ses parents. Elle, mis à part le fait que son père était décédé, sa mère se fichait de l'université. Tant qu'elle était bonne, qu'elle poursuivait ses études, et au passage se trouvait un mari... Grande obnubilation de sa mère, trouver un mari à ses deux filles. Surtout depuis qu'elle avait perdu le sien. C'était devenu très agaçant, surtout pour sa soeur ainée, car elle était plus vieille, donc pour leur mère, c'était une urgence qu'elle ne soit plus célibataire... Imaginez l'ambiance à la maison, quand la maman marieuse ramenait un fils d'une de ses amis à dîner, et vanter toutes les qualités de ses filles. Non vraiment, c'était la honte, et en plus, ils étaient souvent loin d'être aux goût des deux filles. Vous voyez le genre boutonneux à lunette ? Un peu le looser qui physiquement était à l'opposer de tous les beaux jeunes hommes de LPC. Par exemple, puisqu'il était là, Nate lui était tout à fait charmant et à l'opposé des garçons que sa mère avait pû présenter à sa soeur. Bref ! Tout cela, c'était une autre histoire, tellement longue et riche en aventure, qu'on aurait bien l'occasion d'en reparler.

Elle le vit alors s'approcher de sa table. Judy eu un sourire qui s'empara de se lèvres ! Chouette, enfin de la compagnie. Dommage, elle n'aurait pas de conversation hautement philosophique avec ses amis les sacs en papier. Mais au final, elle y gagnait pas mal au change, non ? C'était l'occasion de faire connaissance avec le jeune homme qui était dans sa classe et à qui elle n'avait jamais vraiment eu l'occasion de parler. Elle lui adressa un sourire, et lui répondit avec enthousiasme :

- Hey salut ! Vas y ! Il y a pas de soucis, au contraire. Elle ajouta après qu'il se fut assis : Ca va toi ?

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